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"Petite" Histoire

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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:33


Aratus Valerius
La Fracture d'un Monde

Prélude
Jadis, le peuple d'Océanus était plongé dans le chaos de la guerre...Certaine puissances rester a l'écarts mais fut prisent dans la guerre sans le vouloir, comme se fut le cas pour l'Empire d'Aquilae qui préférer rester en Paix, tous en priant les Dieux de les protéger...
Pour les peuples étrangers, la civilisation aquilinienne avait quelque chose de mystique. Ceux qui pour certain les admirer d'autre les craignez... Les royaumes du Nord menacer de faire tomber les puissances voisines de l'Empire d'Aquilae dans les abimes. Mais nos voisins n'affronteraient pas seul cette menace. Les armées d'Aquilae repoussaient jusqu'au cœur même des Royaume du Nord. Les pertes fut immense...et finalement les monarques du nord furent défait.
Au terme de cette grande guerre, l'Empereur d'Aquilae réunit les plus grand dirigeant afin de former sept puissances afin de préserver la paix....


Dernière édition par Chokev le Dim 15 Avr - 17:17, édité 1 fois
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:36

Chapitre 1: Une journée Noire

Après une matinée mouvementé Aratus se retrouve a terre sans comprendre se qui s'était produit, une main lui est tendu d'une fille qui connaissait très bien, il s'agissait de Léna.Il sentait des douleurs généralisé dans son corps comme si il venait de se prendre un mur. L'ennui c'est qu'il se senti vidé de toute son énergie pour laissé place a la fatigue, voyants des goutes de sang tombé sur le sable. Il repris ses émotions est se redressa en clignant des yeux en essayant de reprendre ses esprits.
Une vingtaines de personnes était assis dans les rangs de l'estrade autour de lui et bavardaient, écrivaient des notes ou nous encouragé. Ils étaient tous a peux prêt du même age, c'est à dire... vingt-deux; vingt-trois ans. Bon la je savais que s'a n'allé pas être ma journée. Aratus se trouvé face une fille qui compté le frapper une nouvelle foi.
L'arène se trouvais en plein milieu de la ville Aquilae, depuis le centre de l'arène ont apercevaient le Palais Impérial ainsi que le Panthéon des Dieux. Autour de nous il y avait des estrades, au dessus des étendard flottée dans le vent, ont pouvais bien distingué un aigle doré sur un fond noir et rouge qui représente les armoiries de la dynastie a Impérial .
Léna fait un geste avec son bâton de bois et lui cria:

-Reprend ton arme Aratus!
Elle portait un pantalon délavé, des chaussures de rangers et une veste en cuire. Ses cheveux blond comme l'or était coupé au niveau des omoplates. Elle était couverte de sueur avec des égratignure sur sa joue de gauche. Léna était magnifique, ses yeux était bleu azur, il me faisait voyager a travers les océans de la planète.
Aratus prend son arme puis se mis en garde.
-Je suis pret, quand tu veux!
De l'autre côté du terrain, un homme cria:
-Arrêtez tous!
C'était le professeur d'entrainement. Son crâne brillé tellement au soleil que l'ont pouvait limite voir notre reflet. Il arborait une cicatrice sur son visage au niveau de l'œil avec un air de deux aires, dans certain moment ont ne savais pas si il plaisantait ou non. Son corps entier était enveloppé d'une armure en titane grise anthracite qui contrastait avec sa cape d'un rouge écarlate. Il portait une arme de pointe digitale accroché à la ceinture. Une allure impressionnante, en sommes il était un ancien des forces armée d'Aquilae. Quand il s'avança vers nous il nous lança d'une voie calme:
-Vous vous êtes bien battu, se sera tous pour aujourd'hui, nous continurons demain.
-Oui Monsieur! affirma Aratus et Lena.

Une satisfaction parcourut l'esprit d'Aratus; il était certain que la prochaine foi il ne sera pas interrompu et qu'il pourra battre Léna. Il était parti en compagnie de celle-ci jusqu'à la place central de la ville. Le moment était venue au jeune couple de se séparer, Aratus se préparer a dire au revoir a sa petite amie quand il entendis un bruit assourdissant. Tous les deux se mirent a regarder autour d'eux jusqu'à a apercevoir de la fumer non loin de leur position, mais Léna fixa un regard d'inquiétude a Aratus, puisqu'elle savait que la fumé venait du Palais Impérial...
Aratus se rendit compte que cela n'était pas normal puis dit a Léna:
-Je dois tout de suite m'y rendre!
-Non, Aratus! C'est dangereux, nous devrions rester ici est attendre que cela se calme, dit Léna d'un aire inquiet, qui balaya la place central voyant de nombreux Chevaliers d'Aquilae se rendre en direction du Palais.
-Léna, mon père est la bas! Je dois savoir si il va bien! a peine avoir fini sa phrase il commença a courir en direction du palais, se qui ne laissa pas le choix a Léna de le suivre.

La peur envahi l'esprit du jeune Prince; il était certain que se n'était pas un simple accident. Au bout de quelques minutes les deux jeunes gens arrive devant les portes du Palais, Aratus se stoppa afin d'observer les dégâts qu'il y avait. Le palais était gigantesque il dominait tous les autres immeubles de la ville, s'était deux tours en spirale penché qui fusionné au sommet, de couleur bronze, ou l'ont pouvait apercevoir les armoiries du dirigeant ériger au sommet de celle-ci, au pieds des tours un grand espace piétons était aménagé. L'incident provenait du 198ème étages, là ou se trouvé la grande salle du haut conseil impérial.
Aratus était sur le point de passer les portes jusqu'au moment ou un garde impérial l'interrompu:
-Alte Là! dit-il d'une voie forte.
-Laisser moi passé; ordonna Aratus.
Le garde avait a peine deux ans de plus que moi, il était en poste depuis un mois dans le corps de protection de notre famille; il avait les cheveux noir ondulé, ses yeux noir, son visage bronzé et sa barbe en collier qui vous disait incessamment de ne pas le provoqué par crainte de représailles. Sa main de gauche tremblé légèrement qui nous montré que la situation le rendit nerveux sans doute du fait que se genre de situation n'était encore jamais arrivé, mais il tenait fermement sur son autre main une lance énergétique pour nous bloquer le chemin.
-Navré excellence, je ne peux vous laissez passé, pour des raisons de sécurité répondit-il.
-Vous êtes peux être sur se poste depuis peux mais j'ai le droit de passé!
Aratus sentis l'inquiètude et l'enervement monter en lui, il ne pouvait plus attendre, la seul chose qu'il comptait pour lui s'était d'avoir des nouvelles de son père.
-Aratus, dit Léna d'une voie douce. Tu voie bien qu'il ne compte pas nous laisser passer, sa ne sert a rien d'insister.
-Attend, crois-tu que je vais laisser passer sa?Je demande a passer immédiatement! s'exclame-t-il.
Léna savais au fond-elle que même ses mots ne pourrais le stopper dans ces actions, alors elle tenta de l'aider a passer les portes en disant au garde:
-Il s'agit de votre Prince, peux importe les ordres que vous avez reçut, si il vous ordonne de le laisser passé, faite le sans bronché.
-Heu...bien, faite donc, je vous laisse passé. Mais je ne serais pas responsable, si il vous arrivez quelque chose.
Ainsi le garde se mit sur le côté afin de les laissaient franchir les portes, le jeune couple la franchi arrivant dans le hall d'entré, quand Aratus se retourne puis dit au garde.
-Ne restez pas planté là! Vous venez avec nous pour assurer notre sécurité, dit-il
Le garde fit mine de ne rien dire de contradictoire et exécute les ordres de Aratus.
Le hall était immense, il y avait des banderoles qui représenté les armoiries accroché au plafond, ont apercevait en face de nous un large escalier en acier, les marches en marbre gris et une rampe en verre transparent qui permettait d'accéder a la mezzanine.

Les gardes est les médecins ont investi le hall pour en faire un quartier général de fortune, il y avait de nombreuses personnes qui dormaient sur les canapé, d'autre tenté de contacter leur proches, les médecins s'occuper de soigné le maximum de blessé et certain partaient immédiatement en direction de l'hôpital le plus proche pour ramener les personnes qui son grièvement blésé, quand aux garde impériaux, ils tentaient de contrôler la situation pour évité que tous cela n'empire. Le garde qui nous accompagne nous conduit jusqu'à a l'ascenseur pour nous amenais jusqu'au centième étage, quand nous y sommes arrivé.
Mon père était allongé sur le sol entouré de trois médecins et de cinq gardes. Son visage était blême et perlé de sueur. L'un des médecins commencer a désinfecter la plaie qu'il avez au niveau de son épaule, le saignement avait cessé mais la plaie semblait profonde. Je m'agenouille devant mon père afin de pouvoir lui parler.
- Père...
Ma voix s'est étranglée. Je n'avais jamais vue mon père dans un tel état, j'aurais du être là pour le protéger.
-Ce n'est pas un accident, a-t-il marmonné. Je n'ais pas eu le temps d'agir.
Le visage du médecin c'est éclaircie, restant très calme face a mon père.
- Vous allez guérir Empereur, a-t-il dit. Encore cinq minutes de plus et ont aurait été embêté, la blessure ne s'est pas infecté. Je vous demanderez juste de ne pas bouger en attendant que nous puissions vous évacuez.
Mon père souffrait, je le voyais et je le sentais aussi, il me serrait si fort la main que j'avais l'impression qu'il m'avait brisé tous les os, mais il restait immobile en me fixant droit dans les yeux.
Je demande aux médecins et aux gardes de partir. Ils se sont tous éloigné pour aller s'occuper des autres blessé afin de me laissé seul avec mon père. Au passage l'un des gardes m'a attrapé a l'épaule.
-Mon prince, m'a-t-il dit, la situation est sous contrôle. Nous avons tous nos effectifs sur le pieds de guerre pour sécuriser le palais, nous pensons qu'il s'agit d'une attaque, certaine information nous conduirais jusqu'à la Fédération d'Aelor. Sachez que nous sommes sous vos ordres jusqu'au rétablissement de votre père.
-Ha...euh...je n'avais pas vue a situation sous cette angle.
Le garde incline la tête.
-Vous ne vous attendiez pas a prendre la relève aussi vite mais votre père est en incapacité de diriger pour le moment, il est donc a vous de prendre ces responsabilité, votre peuple a besoin de vous.

Là-dessus, il a rejoint les autres qui se trouver de l'autre côté du couloir nous laissant seuls, mon père Ambrosius et moi.
Mon père était allongé devant moi, gardant sa main dans la mienne, comme si il me disait ne pas le laisser seul, je voyais dans son regard qu'il se sentait désarmé...Jusqu'au moment ou il me dit:
-Aratus, ne te fis pas au autres, certain te trahirons sans aucun remord, mais tu va devoir trouver le coupable de cette acte impardonnable, dit-il d'une voix faible.
- Père, j'agirais comme il se doit, pour assurer la sécurité et la stabilité jusqu'à votre rétablissement, Aratus ne supporter pas de voir son père ainsi mais il savait qu'il devait rester fort.
Nous avons eu a peine le temps d'échanger une phrase que les médecins et les gardes sont de retour pour emporter mon père afin de le soigné, ils le prit pour le déposer sur une civière et commencer a s'éloigner avec des garde qu'il l'accompagnait pour sa sécurité. Mais aux moment ou le médecin en chef se retourne afin de les suivre je le prend par le bras et lui demande:
-Docteur, dans combien de temps pourra-t-il reprendre ces obligation?
La dessus le médecin en chef fixa Aratus droit dans les yeux et commence a lui dire:
-Excellence, l'Empereur sera de nouveau sur pied d'ici une semaine, je vous rassure que ces blessures ne sont pas grave, mais il a besoin de repos.
Sur ces mots Aratus se sentais a moitié soulagé, mais une part de lui se douté que cela n'était que le début, qui pourrais nous conduire a une guerre planétaire.
-Je vous remercie docteur, faite en sorte qui puisse se remettre le plus vite possible, une semaine est déjà trop long, sa peux faire croire aux autres puissance que nous sommes affaiblie.
-Je ferais se que je peux, mais l'Empereur doit se reposer, nous ne pouvons non plus accélérer sa guérison sans prendre de risque. Je dois y aller excellence; le médecin en chef incline la tête par respect puis rattrape les autre médecins.
A peine partie, Aratus se retourne et se rapproche d'une salle de bureau qui est complétement détruite au niveau des vitre et des mur... Quand Léna se rapproche de lui pour se mettre sur sa gauche, puis commence a lui dire:
- Aratus, ne t'en fait pas il va s'en sortir, il a eu de la chance crois moi.
- Je le sais, mais je ne peux m'empêcher de croire que j'aurais pue faire quelque chose...dit Aratus d'un air coupable.
- Je comprend se que tu peux ressentir, mais tu n'avais aucun moyen de l'aider, mais maintenant tu le peux en trouvant le coupable, Léna pose sa main sur mon épaule afin de me rassurer.
Aratus ne dit rien pendent un bref moment, son regarde fixé les montagnes qui se trouvais en face d'eux, a plusieurs kilomètre de la ville.
-Tu sais Léna, le coupable finira par tomber, ils ont déjà enquêter et celons eux il s'agit d'un acte qui viendrais de la Fédération d'Aelor. Se qui m'étonnerais pas, sa fait des siècles qu'ils veulent nous anéantir car nous sommes une menace pour eux...
Léna fixa aussi les montagne puis elle dit a Aratus:
-Tu sais, personnellement je serais surpris que cela viennent de la Fédération d'Aelor...
-Ah oui? Et pourquoi pense tu a cela? Nos deux famille sont en rivalité depuis des générations, nous avons déjà fait plusieurs fois la guerre, actuellement nos relation son tendu, et il suffit de peux de chose pour que nous replongeons dans une guerre avec eux; dit-il.
-Tu ne comprend pas? C'est pourtant simple. Toutes les autre puissances savent que ta famille et celle d'Aelor son en rivalité, dans se genre de situation il faut se poser une seul question; a qui cela pourrait profiter qu'une guerre éclate entre l'Empire d'Aquilae et la Fédération d'Aelor?...
- Je ne sais pas, mais pour le moment je dois me reposer, cette journée a été dur...et toi aussi tu dois te reposer, nous nous vairons demain; sur ces dernière parole Aratus embrasse Léna puis s'éloigne d'elle.

Aratus se trouve dans ces appartement privé, la nuit était tombé depuis plusieurs heures et il était épuisé, mais pourtant il n'arrivait pas a dormir car dans sa tête il n'arrêter pas de penser a la phrase de Léna. " A qui cela pourrait profiter qu'une guerre éclate entre l'Empire d'Aquilae et la Fédération d'Aelor?" mais il pensait aussi au garde qu'il lui certifié que l'attaque venait du gouvernement d'Aelor, il est vrais que c'est étrange venant de la Fédération d'Aelor, se n'ais pas leurs façon de procéder, le doute s'installe dans mon esprit... Qui voudrais nous nuire? Qui prendrais le risque de créer un conflit avec un risque important que cela s'étant a l'échelle planétaire, qui voudrais faire venir les ténèbres la ou la paix règne depuis plusieurs siècles? Autant de questions sans réponses...
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:37

Chapitre 2: Un Sommeil Tourmenté

Aratus se déshabille puis s'allonge dans son lit en se tournant du côté de la baie vitrée, il se trouvait dans la deuxième tour du palais au 232ème étages, de sa hauteur il pouvait apercevoir toute la grande chaine de montagnes sacrée enneigé,qui est utilisé comme frontière, de l'autre côté se trouvé le Royaume d'Ignis. Au bout de quelque minutes il commençait un s'endormir mais cela était sans compté sur le dérangement d'une sonnerie qu'il le réveille, quand il observe la baie vitré il voie une lumière rouge qui clignote sur celle-ci puis dit:

-Autorisation d'ouverture du cannal, d'une voie a moitié endormie.
Un écran apparait sur la vitré laissant place a une personne qui était habillé en uniforme de couleur noir, ces cheveux cours et gris, il avait des yeux vert, et ont pouvais apercevoir des médailles sur sa gauche au niveau du torse qui montré ces récompense du passé, il s'agissait du conseillé de la défense.
-Excellence, pardonnez m'on dérangement, mais il fallait que je vous tienne informé des derniers nouvelles.
Aratus, se redresse pour aller s'assoir sur le rebord de son lit puis repond ont conseillé:
-Se n'est pas grave, de toute façon j'avais du mal a dormir, dite moi se qu'il y a de si urgent pour ne pas attendre demain.
-Et bien nous avons découvert qu'un flux de donnée provenant de la Fédération d'Aelor se trouvais non loin du palais trente minute avant l'attentat, se qui nous confirme leurs implication; dit le conseillé d'une voie ferme.

Je ne savais pas quoi penser, nous avons la preuve qu'il s'agit bien d'eux, mais pourtant mon intuition me dit le contraire...
-Je vois... Bien écouté, il est 3h00 du matin, nous n'allons rien faire pour le moment, augmenté juste la sécurité autour du palais et au alentour d'Aquilae, cela rassurera le peuple et nous verrons pour le reste demain matin.

Le conseillé ne comprenais pas la réaction du jeune prince, mais du fait qu'il n'a jamais eu une aussi grande responsabilité, il ce dit que cela doit être normal et tente de lui faire comprendre qu'il faut agir maintenant sinon ont nous pensera faible.
-Excellence, j'admire votre volonté de protéger votre peuple, mais cela ne durera pas, se qu'il ont fait c'est un acte de guerre! Nous devons riposté afin de montrer aux autre nations de quoi il en retourne, si ont se prend a nous.
-Conseillé, je comprend votre désir de vengeance, mais je ne pense pas qu'il s'agit de la bonne solution, avons nous au moins tenté d'entrer en communication avec eux? Aratus n'apprécie pas vraiment la manière que le conseillé voie les choses.
-Sans vouloir vous manquez de respect excellence, nous ne pouvons discuter avec de tel barbare, la force et le seul moyen de prouver que nous nous laissons pas faire avec se genre de menace, votre père..., le conseillé n'a pas eu le temps de finir sa phrase que Aratus le coupe.
-Je ne suis pas mon père, si je vous dit de ne rien faire, vous ne faite rien. Je ne veux pas empirer la situation plus se qu'elle est, je n'ai pas envie que nous nous retrouvons en guerre contre eux sans être sur a 100% qu'il s'agit bien de la Fédération d'Aelor les coupables, imaginé les retombé si vous vous trompez? Donc la discussion est clos. Vous augmentez la sécurité est c'est tous, si je venais a apprendre qu'une action a été faite contre eux, vous aurez a faire a moi, me suis-je bien fait comprendre conseillé?

Le conseillé n'en revenait pas de la réaction d'Aratus, et de s'a façons de lui parler, il n'a donc eu pas le choix que d'exécuter.
-Bien excellence, je ferais celons vos ordres, il incline la tête puis coupe la transmission.
Aratus se retrouver de nouveau dans le noir, il se rallonge dans son lit espèrent que personnes ne vient le déranger pour enfin pouvoir se reposer. Il s'ait que demain va être une longue journée et que les conseillé vont tenter de le convaincre de préparer les force au combat, mais Aratus ne compte pas se laissé faire et rester sur ses positions...
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:39

Chapitre 3: Alerte Maximum

Le lendemain Aratus se rend dans la zone sécurisé B, qui se trouve -12 du palais, il ne s'y était encore jamais rendu et a la vue de se qu'il l'entoure Aratus était abasourdi, il y avait des gardes pratiquement a chaque portes, deux gardes l'accompagné jusqu'à a la salle principale de la zone et il ne voyait rien mise a part des portes blindé qui était fermé. Quelques minutes plus tard le voici dans le cœur de la zone sécurisé B, au milieu de la pièce se trouvais un hologramme qui affichait la ville d'Aquilae, avec plusieurs points dans les zone qui localisé nos défense. En face se trouvais un grand écrans ou défilé de nombreuses informations, sur les autres nations, notamment leurs action depuis l'attentat. Il y avait une mezzanine qui était accessible par un escalier en colimaçon il était fait entièrement en fer mélano, se matériaux était le plus résistant de tous, et aujourd'hui ont en trouve quasiment plus sur la planète, cette mezzanine conduisait a des bureaux enterrement fait en verre, qui nous permettais de voir se qu'il s'y passe. Puis un soldat vient vers moi:

—Excellence, veuillez me suivre je vous prie, elle tendait la main en direction de l'hologramme.
Je suis le soldat jusqu'au projecteur, trois personnes se trouvaient autour de celui-ci, il y avait le conseillé de la défense, quand aux deux autres personnes je ne l'ai connaissais pas.
—Madame, Messieurs, alors ou en est ont? dit Aratus, d'un air sérieux et calme, mais a l'intérieur de lui il était aussi angoissé par cette situation.
Les trois personnes se mirent a réponde en même temps "Excellence" tout en inclinant la tête par respect, puis l'un deux prit la parole.
—Je suis le commandant de cette base excellence, depuis l'attentat d'hier nous avons mis toutes nos ressources a disposition. Nous avons découvert que l'attaque n'avait par pour but de tuer l'Empereur, mais seulement de faire des dégâts dans nos infrastructures.

La commandant avait la peau bronzé et des long cheveux brun, elle avez les yeux marron ainsi que des cernes autour se qui montré sa fatigue, elle était en uniforme noir, avec des galon au niveau des épaules, il y était dessiné un aigle dorée avec quatre étoiles en dessous. J'aperçois légèrement une arme digitale a sa ceinture et une dague en bronze accroché.
Quand a la deuxième personnes il était aussi habillé de la même tenue que la commandant mise a part ces galons, ou il y avait trois étoiles, se qui affirmé qu'il était un Capitaine. Il avait les cheveux court et brun avec une mèche gris sur sont côté droit, sont visage est claire avec une barbe de trois jours.
—En êtes vous certain? Si il s'agissait de ne faire que des dégâts pourquoi s'en prendre au palais? Aratus était perplexe de la réponse du commandant.
—J'en suis certaine excellence, je vais laissé le capitaine vous expliquez en détail.
Le commandant tourne la tête en direction du capitaine comme pour lui donner l'autorisation de prendre la parole.
—Nous avons relever, des flux de donné en provenance de la Fédération d'Aelor, nous les avons decrypté et nous sommes tombé sur ceux ci Exellence, le capitaine affiche sur l'holograme un message.

La ville d'Aquilae disparait pour laissé paraitre un court message ou je pouvais lire, "la chute d'une pierre n'est que le début de fin, faite en sorte qu'il y es le moins de mort, se n'est pas la mission. Nous devons seulement installer une atmosphère de crainte pour la première phase". J'était surpris du message, en quoi consistait la tactique? je trouvais cela étrange.
—Savez vous qui a envoyé se message et a qui il était destiné? dit Aratus en tapotant avec ces doigts sur l'appareil holographique.
—Non excellence, nous n'avons pas pue trouver le destinataire, quand a la source, tous nous indique vers la Fédération d'Aelor, mais en analysant toutes les données que nous disposons ainsi que nos caméra de surveillance se trouvant a l'étage, ou a eu lieu l'explosion ainsi que se qui se trouve au alentour du palais nous avons découvert un détail.
Aratus observe attentivement les moindres geste du capitaine tentent de comprendre tous se qu'il lui explique de la situation.
—Comme vous le savez le 172ème étage était en pleine rénovation, et quand nous avons regarder dans les moindre détails les fichiers de chaque personnes se trouvant dans le palais, nous avons remarqué que l'un des ouvriers n'était pas dans nos registre, selon l'entreprise qui s'occupe des travaux, cette personne ne travaille pas pour eux, je pense que nous pouvons dire que nous avons notre premiers suspect excellence.
Je voyais une image qui provient des enregistrements des caméra, un homme était devant l'ascenseur, il etait inconnu de nos fichiers et non loin de l'endroit ou il y a eu l'accident tous l'accuse...
—Une personne inconnu de nos service se trouvais dans le palais, comment pouvez vous m'expliquer cela? Je croyais que toute personnes qui rentré devais déposer ces identifiants, ainsi que de disposer une carte.
Le conseillé de la défense ne savait pas trop quoi répondre a Aratus, mais il tenta de s'expliquer.
—Excellence, je suis navré, mais nous ne pouvons vous dire comment il a réussi a s'introduire dans le palais sans être enregistré, nous ferons plus attention, j'ai déjà ordonné d'augmenté le renforcement de la sécurité.
—Je veux que vous me trouvez une réponse sur le fait qu'il se sois introduit sans que nous le sachions, et je voudrais aussi que vous...Aratus se voie coupez la parole par une alerte qui se met a retentir dans la zone sécurisé, puis reprends la parole. Que se passe-t-il?
La commandant affiche la carte en hologramme afin d'identifier l'alerte et de la confirmé.
—Excellence, il semble que la Fédération d'Aelor ai reçut une attaque du même genre que nous sur leur résidence présidentiel, mais ont dirait; la commandant taper sur le clavier se trouve en face d'elle puis affiche des coordonnées par rapport au flux énergétique de nos satellites détecte. Excellence nous avons un problème; elle me regarder d'un aire abasourdie puis reprend la parole. Ils pense qu'il s'agit d'un acte venant de nous puisqu'il ont activé leur systèmes de missiles a longue porté et les dirige vers notre direction.

La commandant, le capitaine et la conseillé a la défense ainsi que tous les autre soldat se trouvant autour de nous me regarder, comme si ils attendaient un ordre.
Je sentais a l'intérieur de moi l'inquiétude et l'effroi, en se demandant si cela n'est qu'un cauchemar ou bien la réalité, en se moment même la Fédération d'Aelor venais de diriger leurs missiles vers notre direction, prêt a faire feu...La paix ne tenait a rien pour qu'elle vole en éclat.
—Je dois tous de suite m'entretenir avec le Président d'Aelor, cela doit cesser; dit Aratus sentent sa voie forte.
—Bien excellence, nous allons tenter de vous mettre en communication avec le Président de la Fédération d'Aelor, le conseillé de la défense dirige son regarde vers le capitaine puis lui dit; capitaine donné l'ordre de lever le bouclier autour de la ville,ainsi que de préparer nos missile d'interception. Mettez en état d'alerte tous les chevaliers et nos bases frontalière! Que nos pilotes se prépare a intervenir! dit-il d'une voie sec. Ont ne sais jamais si il venait a nous les envoyer, au moins nous serons protéger de cette attaque.

J'avais l'impression que le temps venais de s'arrêter, les soldats s'agitait dans la base avec cette alarme assourdissante qui m'empêcher de me concentrer, j'était témoin d'un enjeux important, celui de la stabilité, je l'avais promis a mon père et je n'ai pas envie de le décevoir, si il voyait qu'une guerre était a notre porte. J'attendais avec impatience que l'ont me met en communication avec le Président afin que je tente de modifier la situation afin d'éviter tous massacre, car Aquilae a déjà trop verser de sang...
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:41

Chapitre 4: Je gagne un sursis

Après quelque minutes d'impatience, le conseillé de la défense revient vers moi:
—Excellence, nous avons réussi a ouvrir un canal avec le Président de la Fédération d'Aelor, je vous mets sur la ligne dans le bureau qui se trouve sur la mezzanine.
—Bien, je vous remercie conseillé, je vais essayer de calmer la situation, ne faite rien sans mon accord.

Je me dirige vers l'escalier en colimaçon afin d'accéder a la mezzanine, une foi arrivé a l'étage je me rend au bureaux et en fermant la porte je n'entend plus l'alarme, puis j'active la communication. Un écran apparait sur la vitre de la pièce laissant apparaitre un homme habillé avec une chemise blanche ou par dessus il portait une chemise de couleur beige, il a les cheveux court est gris ainsi qu'un bouc, ces yeux sont vert; sur le côté droit de son visage ont apercevais un grain de beauté. A côté de moi il avait vraiment l'air d'un homme d'état, car je ne portais qu'un t-shirt noir, avec une chaine en argent massif ou deux pendentif était accroché, l'un est un aigle représentant les armoiries de ma famille et l'autre était un anneau en bronze avec la partie intérieur en or, elle appartenait a m'a mère, mon père me là confié après sa mort, afin que je garde une partie d'elle sur moi . Je portai un pantalon noir et des chaussure en cuir noir. S'étais la première foi que j'allais m'entretenir seul avec un chef d'état, j'avais déjà assisté a des entrevues avec mon père, mais je n'avais le droit que au silence, là s'était un a moi d'agir...

—M. le Président, heureux de pouvoir enfin vous parlez, tous d'abord sachez que je suis profondément attristé de se qui vous viens de vous arrivez, et veuillez pardonner mon père de son absence, mais il n'est pas disponible pour le moment, c'est donc moi qui le remplace pour le moment.
—Prince Aratus Valerius... la dernier foi que nous nous sommes vue vous n'avez que huit ans, vous avez bien grandit depuis, sachez que je vous remercie de votre compassion, mais il me semble que vous me devez une explication.
Je sentais comme une vague de chaleur monter en moi, un trouble s'était installer, mais je savais que je devais utiliser les bon mots, il suffit d'une erreur pour que le chaos arrive...
—M. le président, si je me permet de me présenter a vous aujourd'hui c'est que nos service ont remarqué que vous avez dirigé vos missiles vers notre direction. Je vous demande de bien vouloir les désarmer.
—Vous avez du culot de me demander cela après se que vous avez fait, croyez vous réellement que nous allions nous laissais faire, sans répliqué? Le président était irrité de ma demande, mais je tente une nouvelle fois de le convaincre.
—Monsieur, sachez que nous n'avons rien fait, si vous pensez que nous avons orchestré l'attaque chez vous sachez qu'ils s'agit d'une erreur, nous n'en sommes pas responsable. Nous avons nous même subis une attaque sur notre territoire, et nos hommes ont tous de suite remarqué que des donnée provenais de chez vous, mais certain ont remarqué des irrégularité; j'espère que avec cette réponse nous pourrions avoir une discutions constructive.
—Prince Aratus, vous tentez de me faire croire que vous n'êtes en aucun cas responsable? Puis en plus de cela vous nous accusais de vous avoir attaquer? Je ne suis pas dupe, je connais votre famille. Vous avez toujours était de parfait manipulateur, vous montrez vos beau visage mais dans l'ombre nous savons tous deux se que vous et votre famille faites.

Je ne comprenais pas l'attitude du président de la Fédération d'Aelor, pourquoi me dit-il toute ces choses, je devais éviter de lui réponde sur ce sujet afin de revenir au problème principale.
—M. le Président, je ne suis pas là pour vous entendre insulter ma famille, je vous demanderais de vous retenir, notre discussion a pour but de trouver un arrangement. Vous avez été attaqué aujourd'hui et nous ont là été hier, je pense qu'il ne s'agit pas du coïncidence et que quelqu'un se cache derrière tous cela, nous devrions travailler ensemble afin de trouver le coupable, car mon intuition me dit que cette personne veux que nous nous retrouvons en guerre.
—Bon...même si votre famille cache bien des choses, je suis près a vous laissé le bénéfice du doute... Je laisse trois semaines a vos hommes pour trouver se soi disant coupable, si vous avez raison je désactiverais toute procédure d'attaque contre votre Empire, mais si vous avez tort je vous anéantirez, vous es toute votre famille.

La communication s'est coupé en me laissant deux mois pour résoudre le problème, au même moment la commandant venais d'entrer.
—Excellence, la Fédération a désactivé leurs missile mais ils sont toujours tourné vers notre direction.
—J'ai réussi calmer la crise commandant, nous avons un délais de trois semaines pour trouver le coupable, qu'ont n'effectue aucune action qui pourrais annuler l'accord que j'ai eu avec le président de la Fédération d'Aelor.
—Excellence, pouvez vous m'expliquer se délais? Que se passera-t-il si nous le dépassons, je ne comprend pas, dit-elle d'un air curieuse.
—C'est simple commandant, si nous ne trouvons pas le coupable se sera la guerre, donc au travail le temps nous ais compté.

Je pris la direction de sortie mais pendent que je descendais de la mezzanine la commandant me suivait derrière en me parlant.
—Excellence, la guerre? Je croyez que vous alliez arranger la situation.
—C'est se que j'ai fait il y a un instant, s'était sa ou il nous bombardé avez leurs missiles aujourd'hui.
—Mais pourquoi la Fédération voudrais risqué une guerre quand vous lui proposé l'inverse, dit-elle. La commandant qui avait l'impression que tous lui échappé des mains
Une foi arrivé a l'ascenseur, je rentre a l'intérieur et je me retourne pour être face au commandant:
—Il ne s'agit pas de votre domaine commandant, je vous ais obtenu un délais alors je vous suggère de commencer vos recherches immédiatement; a peine avoir terminé ma phrase que j'active l'ascenseur pour me rendre dans le hall du Palais afin de retrouver Léna qui m'attendait.
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:42

Chapitre 5:Un moment de répit

Il n'y avait plus de camp de fortune, la hall est redevenu comme il était, les banderoles de ma famille accroché au plafond, l'escalier en acier conduisant a la mezzanine du hall. De nombreuses personnes franchissaient les portes du palais qui se rendais a leurs bureaux, il y avait nettement plus de gardes qui sécurisé le hall, toutes personnes qui rentré était contrôlé du au fait du renforcement. Léna était au milieu du hall, elle discutait avec un des gardes, je le reconnaissais, s'était le garde qui ne voulais pas me laisser entrée. Je me demande bien de quoi ils discutent. Je me rapproche d'eux quand je dit d'une voie haute:

—Léna, je suis là.
Léna et le garde tourne leur tête vers ma direction, elle s'approche de moi pour venir m'embrasser quand au garde il s'incline légèrement devant moi.
—Enfin, te voila Aratus, sa fait une heure que j'attend, heureusement que Zéno était là pour me tenir compagnie.
—Navré Léna, depuis l'attentat j'ais beaucoup de travail...lui ais-je dit. Qui est Zéno? je ne connaissais pas cette personne, même si j'ai un doute de qui il s'agissait.
—Ah j'oublie, Aratus tu te souviens du garde d'hier? Elle jette un léger regarde sur le garde se trouvant sur sa droite puis elle le repose sur moi. Et bien le voici, il s'appelle Zéno, il m'a dit comment il a fait pour se retrouver ici c'est impressionnant.
—Sans doute, je ne lis pas les fichiers des personnes qui se présente pour être dans la garde, a vrais dire je ne connais même pas la moitié des personnes qui y sont. Mais si il a réussi a rentrer c'est qu'il a réussi les épreuves d'admissions.
Le garde laisse un sourire s'échapper puis il prend la parole:
—Je vous crois excellence, après tous vous avez des choses plus importante a faire, nous sommes simplement là pour assurer votre sécurité.
—Oui... Vous avez raison, très bien.  Je suis désolé Léna, mais je passais juste pour te dire que l'ont ne pourra pas passé notre journée ensemble. Le Haut Conseil Impérial et réuni, ils attendent des détails sur les événements d'hier.
—Oh...dit-elle d'un air déçus. C'est dommage Aratus, mais je comprend. Tu a raison de tenir l'Empire a flot pendent cette période sombre, les gens on besoin de sentir que l'ont se préoccupe de leur sécurité.
—Ne t'en fais pas; je pose mes mains sur ces épaules en la fixant droit dans les yeux. Nous aurons plus de temps quand mon père aura récupéré, je te promet de me faire pardonner, lui ai-je dit an souriant.
—Je l'espère bien!dit-elle en me souriant. Tu devras mettre le paquet pour t'excuser, me dit-elle.
Nous rigolons tous les deux, oubliant tous se qui nous entoure pendent une fraction de seconde puis nous revenons a la réalité. Je tourne mon regard en direction de Zéno et je commence a lui dire:
—Zéno vous me suivrez dans mes moindres mouvement, afin d'assurer ma sécurité. Je ne sais pas pourquoi, j'ai l'intuition que je peux vous faire confiance.

Je sais que j'ai combattu mon père afin que plus aucun gardes ne me suis tout le temps, mais là, je suis obligé par les temps qui cours.
Zéno s'incline devant moi en me disant:
—Se serais un honneur mon Prince.
Je tourne de nouveau le regard en direction de Léna et je l'embrasse sur la joue.
—Je dois y aller, fait attention a toi.
—Toi fais attention, me repond-elle.
Je m'éloigne de Léna avec Zéno qui me suis a côté, puis nous entrons a l'ascenseur afin de nous rendre au 145ème dans la seconde salle du Haut Conseil Impérial.
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:44

Chapitre 6: Des réunions interminable

Quand les portes de l'ascenseur s'ouvre un long couloir avec des garde tous les cinq mettre se trouver en face de nous. Nous avançons jusqu'à nous trouvais dans la salle du Haut Conseil Impérial. Il y avait une grande table au milieu de forme rectangulaire, ou était disposait dix chaises, sur le côté nous pouvons apercevoir des plantes qui était soigneusement aligné, et la baie vitrée nous donnais une vue sur la ville entière et le Panthéon des Dieux. Il y avait déjà cinq personnes présente, qui était tous déjà a leur places entrain de discuter. Je reconnaissais les conseillés, il avait le conseillé a la défense que j'ai vue tout a l'heure au sous sol, il y avait le conseillé a la finance, il avait les cheveux court de couleur noir et ses yeux de couleur marron.

Sa peau était de couleur mate et porté une barbe de trois jours . Il y avait le conseillé des lois et de la justice, ces cheveux était long rangé a l'arrière de couleur châtain et avez les yeux de couleur marron. Ensuite j'aperçois le conseillé des forces naval qui était également présent, il avait les cheveux rasé et avait une balafre sur le côté gauche du visage, il portait un un costume noir et l'ont pouvaient voir sur sa poitrine gauche les médailles qu'il a reçut. Puis il y avait une femme, s'était la seul du conseille. Il s'agissait de la conseillère de l'expansion et de la diplomatie, ces cheveux était long de couleur châtain avec des yeux marron.
Dès mon entrée ils se sont levée et se son incliné légèrement en disant a l'unisson "excellence".

Je leur faire signe de se rassoir, puis je m'installe en bout de table, quand a Zéno mon garde personnel était derrière moi contre le mur.
—Merci d'être venu, je vous ais fait venir du fait de la situation actuel. Je sais que se n'est pas facile pour nous tous, mais nous devons travailler ensemble afin d'éviter une guerre.
La conseillère de la diplomatie regard ces confrères puis son regard se pose sur moi.
—Excellence, de la part de tous le conseil, nous tenions a se que vous sachiez que nous vous soutenons et que nous sommes avec vous dans les épreuves que vous traversez.
—Je vous en remercie, j'attend de vous que vous m'aidiez a régler le conflit, je ne suis pas encore familier avec les procédures, mais j'espère que vous m'en tiendrais pas rigueur, leur ai-je dit d'une voie calme. Bien commençons je vous pris.

Le conseillé a la défense active depuis son ordinateur incrusté dans la table les écrans se trouvant sur la baie vitré. La salle s'assombrie puis nous commençons a discuter, quelques minutes plus tard les conseillés manquant a l'appel nous ont rejoins en s'excusant de leurs retard. Pendent des heures nous avons discuté des affaires de l'Empire principalement sur les attentats orchestré et d'une possible guerre avenir. Les jours s'écoulé comme si il s'agissait des heures, je n'avais plus vue Léna depuis. Quand a Zéno, il était toujours là a me suivre pour ma sécurité. Nous avons même sympathisé, car dans certain moment je ne savais plus quoi faire et il m'aidait a me détendre et tenté de m'aidait avec les affaires en cours. Les réunions du conseil s'enchainé, comme mes passages au sous sol afin d'avoir plus d'informations. Les autres nations attendaient toujours de nous des éclaircissement sur les attaques, quand a nos relation avec la Fédération, elles étaient toujours tendu. Notre conseillère diplomatique avez du mal a trouver un moyen de faire comprend au Président d'Aelor que nous sommes dans le même camp. Puis un soir, alors que j'allais prendre l'ascenseur escorté par Zeno pour me rendre dans mes appartement, le conseillé a la défense m'interpelle.

—Excellence!
—Qui a-t-il conseillé?lui ai-je dit d'un aire blasé.
—C'est au sujet de la Fédération, je sais que vous n'êtes pas de mon avis, mais écoutez moi.
—Bien, je suis a vous. Que voulez vous me dire?
—Il nous reste peux de temps avant le temps impartie que le président de la Fédération nous a donnais, ayant pour but trouver le véritable coupable, même si je pense qu'il s'agit bien d'eux les véritable ennemis.
—Dite moi se que vous voulez me dire, j'aimerais me reposer.
—Nous devons préparer nos forces au combat.  Je sais que vous êtes contre. Mais si ont ne trouve pas le coupable avec les preuves, la Fédération nous attaquera. Et nous devons nous défendre.
—Je le sais conseillé, mais pour le moment nos bases son en était d'alerte 3, donc je pense qu'elle commence a se préparé si la guerre devais venir.
—Excellence, nous devons faire plus que cela, regardez autour de vous. Nous sommes entouré d'ennemis qui attendent que nous faiblissons. Il y a de cela des siècles nous étions vue comme des sauveurs par les nations du sud, et nous étions crains par ceux du nord. Aujourd'hui se n'est plus le cas, nous devons rester vigilent. Ce que a fait la Fédération doit être punis. Nous devons montrer a tout le monde se qu'il en coute de s'attaquer a nous.
Je le regardais d'un air perplex puis je prend la parole:
—Conseillé, tous n'est pas questions de puissance de feu. Vous me cité une époque ou régné la guerre et le chaos, ou nous étions les seul assez puissant pour stopper la guerre. Aujourd'hui le monde est en paix, donc la solution la plus raisonnable et la diplomatie. Puis vous accusez encore la Fédération de ces attaquent, nous avons encore aucune preuves, puis si il s'agissait d'eux pourquoi aurait-il attaquer leur propre résidence présidentiel?
—Mon prince, vous êtes jeunes et vous n'avez pas encore assez d'expérience, mais cela n'est que ruse pour se faire passer pour la victimes. En attaquant leur propre résidence, ils attirent le regard des autre nations contre nous. Puis vous savez tous est une question de puissance, croyez vous réellement qu'il vous écouterez si vous aviez pas de moyen militaire? Je ne crois pas.
—Je suis navré conseillé mais je reste sur mes positions. Vous devriez vous reposer afin de réfléchir. Nous en restons là pour aujourd'hui.

Les portes de l'ascenseur s'ouvre, puis je rentre et Zeno sélectionne mon étage. Le lendemain matin qu'elle ne fut pas ma surprise, quand je me suis rendu dans la salle du Haut Conseil Impérial mon père était là. Je le voyais en pleine forme entrain de discuter avec les conseillés.
—Père?
—Aratus, content de te revoir mon fils.
—Si je comprend bien, vous reprenez vos fonctions? lui ai-je dit d'une voie seraine.
—Et bien je suis guéri, donc oui. Je ne voie pas pourquoi je devrais faire attendre plus longtemps mes devoir envers Aquilae. D'ailleurs je tiens a te remercier fils. Les conseillés mon dit que tu t'en sortais bien et que tu faisais tous pour préserver la paix.
—Je vous avez promis que a votre retour vous auriez toujours un empire stable, il était de mon devoir de vous remplacez.
—Oui, d'ailleur, a se propos. Tu va pouvoir retourner a tes occupations, je reprend la suite.
—Que voulez vous dire père?
—Et bien, tu n'aura plus a faire mon travail maintenant que je suis là, je te remercie Aratus de se que tu a fais, mais ton travail s'arrête ici.

J'étais abasourdi de se qu'il venait de me dire, je me suis occupé de l'empire pendent toute une semaine, et voila comment il me récompense? en me rejetant des affaire politiques, comme si je n'avais rien fait? Qui plus ais, j'ai remarqué qu'ils étaient entrain de discuter tactique militaire, ce qui me montrer bien qu'il en avait que faire de la paix que j'ai réussir a maintenir pendent son absence. Sa me mettais en colère,  j'ai préférer respirer un grand coup et lui dire calmement.
—Bien père, si vous le voulez bien je vais y aller, afin de vous laissez travailler; je quitte la pièce en colère contre mon père, et je retourne a mes appartements. Une fois arrivé, j'active l'écran se trouvant sur la baie vitré afin de faire défiler des images de rapports, quand je découvre quelque chose d'étrange.
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:46

Chapitre 7: Père et Fils

Je me trouvais dans mes appartement, il était constitué de quatre pièces. A l'entré ont arrivé dans un vestibule qui donne accès a trois pièces, sur la gauche une porte nous dirigeais vers la salle de gym, et en face de cette porte se trouvais un bureau avec une bibliothèque, puis face a l'ascenseur il y avait la pièce principale. Il s'agissait de ma chambre, il y avait un grand lit contre le mur face a l'entrée. Au font sur la gauche se trouvé une petite pièce ouverte, il s'agissait de mon dressing et sur la droite de celui ci se trouvé une porte qui donné accès a la salle d'eau. A gauche de l'entré se trouver des étagères de rangement encastré dans le mur, là ou était disposé mes armes, je suis un collectionneur aussi bien des anciennes que des nouvelles armes et elle fonctionne toutes. Au centre de la pièce se trouvais une table en bois massif rectangulaire ou était disposé six chaises. Puis sur la droite dans ma chambre, face a la baie vitré qui donné vue sur toute la ville ainsi que la chaine de montagnes au loin, se trouvais des fauteuils avec une table basse en verre trempé. Les murs étaient de couleur noir avec une nuance de gris, un tableau qui représentais le palais était accroché au dessus du lit, puis entre le dressing et la salle d'eau une photo de famille de grande taille était fixé. Il y avait mon père et ma mère en tenue officiel, je me trouvais dans les bras de ma mère, je n'étais q'un bébé, je portais des vêtements de couleur rouge et noir comme mes parents, du fait qu'il s'agissait des couleurs dominante de nos armoiries.

J'étais entrain de regarder des rapports concernant l'attentat et c'est a se moment que je fais une découverte. Il y avait des fichiers avec de nombreux transfères de matériels sur la base Storn. Cette base se trouvais au nord de l'empire, sur nos frontières. Le plus étranges c'est que non seulement c'est fichiers était dissimulé, mais sur ces documents ne concerné pas seulement des transfères, il y avait également des irrégularité sur ces rapports sur ce qui se produisait a l'intérieur. Je continuais a chercher quand j'ai remarqué un document qui concerne la ville d'Aestrom, je ne comprenais pas se qu'il venait faire là. Cette ville se trouvais a l'opposé, elle était tout au sud de l'empire. Pourtant il y aurait eu certaines activités dans cette zone, quand j'ai essayé d'en savoir plus l'écran est devenu noir et s'éteint ne laissant que la ville en visuel. J'ai essayé de faire afficher de nouveau les document mais rien, je n'y avais plus accès. Se n'était pas normal, j'ai donc décidé d'aller voir mon père.

Je suis sorti de la chambre, et une foi dans le vestibule j'ai retrouvé Zéno qui m'attendais. Nous nous dirigeons tous deux dans l'ascenseur puis nous montons jusqu'à l'étage du bureau de mon père. Quand les portes se sont ouverte, une petite pièce se trouvais en face de nous, il y avait deux gardes ainsi qu'une femme derrière un bureau, il s'agissait de la secrétaire de mon père. En me voyant elle se lève et s'incline devant moi.
—Excellence, que puis-je faire pour vous? me dit-elle
Elle avait les cheveux long de couleur brun, elle avait des yeux en amande de couleur vert. Elle portait une chemise blanche, et un collier en argent autour du coup.
—Je souhaiterais voir mon père.
—Je suis navré mais votre père a demandé de ne pas être dérangé.
—J'en ai pour quelques minutes; elle ne me dit rien, comme les gardes qui n'ont pas essayé de m'arrêter. J'ai ouvert la porte du bureau de mon père, quand je l'ai franchi je me trouvais dans une pièce immense. Il y avait sur ma droite a l'entrée un coin salon, ou il pouvait recevoir des invités, sur ma gauche se trouvé une bibliothèque avec des fauteuils, puis en face de moi, devant la baie vitrée se trouvais mon père a son bureau. Il était en plein travail quand il m'aperçoit il me dit:
—Aratus, que fais-tu ici?
—Père, veuillez m'excuser de vous dérangez en plein travail, mais je dois vous parlez de quelque chose d'urgent.
—Approche, viens t'asseoir. Dit moi se qu'il y a?

Je lui explique se que j'ai remarqué par rapport a la base Storn ainsi que un des rapports concernant Aestrom. Quand je lui fait remarquer toutes ces irrégularités, il avait l'air perplexe. Je lui ai dit qu'il faudrait m'envoyer avec des personnes voir se qu'il s'y passe, car j'était sur que cela avait un rapport avec l'attentat. Je savais que cela pouvais s'avérer dangereux du fait que des soldat d'Aelor se trouvais pas loin de la frontière. Je n'ai pas eu le temps de lui montrer d'autres problèmes dans les rapports qu'il me dit:
— Je ne peux t'envoyer avec des chevaliers là bas Aratus.
—Pourquoi père? Il vous suffit d'en donner l'ordre.
—Tous ceci n'est que chimère, le président d'Aelor espère se faire passer pour des victimes afin de liguer les autres nations contre nous.
—Père, je comprend que l'attaque que nous ayons reçus peux être traumatisante, mais cela ne veux pas dire se refermer sur sois. Envoyez moi trouver les vrais coupables, faire cessez cette mascarade. Vous m'avez entrainé pour ce genre de conflit.
Mon père m'a regardé comme si je venais de lui dire quelque chose d'insensé. Plusieurs secondes de silence c'est écouler avant qu'il me dit.
—Aratus, je ne peux t'envoyer hors de la capitale. Cela est bien trop dangereux, par les temps qui courent. Le conflit ne peux être évité, nous devons nous préparais a la guerre.
—Père, entendez vous ce que vous dites? La guerre ne réglera pas les problèmes, ont nous voie comme les protecteurs de la paix. Laissez moi une chance de prouver que nous sommes toujours cela. Ne croyez vous pas qu'il est temps de me donner certaines responsabilités?
—Fils, comme tu là dit nous somme a l'aube d'une guerre, et nous avons pas le temps pour ces suspicions absurde. La discussion est close, tu n'ira nul par.
—Mais?Père! Je me porte volontaire, je n'échouerais pas, quoi que vous pensiez!
—Aratus, tu es mon seul et unique héritier, je ne saurais risqué de te perdre par égard a une simple aventure.
—Parce que la vie de vos hommes ne vos rien celons vous?
—Non! Parce qu'elle a moins de valeur que la tienne.
—Je vais y aller, croyez moi! Donnez moi seulement quelques hommes!
—Non; me dit-il d'un ton ferme.
—Nous trouverons se qui se cache derrière ces mystères et je vous garantis que nous aurons protégé plus que nos vie; lui ai-je dit d'un ton persistant
—Non!
—Pourquoi refusez vous?! ;Je n'en pouvais plus de rester ici sans rien faire. A attendre que cela passe.
—Parce que un jour ou l'autre, je serais mort et que Aquilae aura besoin d'un empereur. Il n'est pas question que tu met en péril la vie de l'empire pour de folles idées.
—Ce ne son pas de folles idées, j'ai vue ces rapp.... Mon père ne m'a pas laissé finir ma phrase.
—Oui, tu a vue! C'est bien se que je dis, tu es trop obstinais sur se que ta sous les yeux au lieu d'avoir une vision plus large.
—Je vous en pris père, je ne serais rester en place en regardent ce comploteur réussir, laissant derrière lui d'innombrable morts.
—Alors regard ailleurs. Ces hommes, ne serons pas les seul a donner leurs vie pour nous. Tu es née pour être empereur. Il va falloir que tu t'habitue a sa.
—Je ne peux accepter sa!
—Tu ne sortira pas d'ici Aratus.
—Vous ne m'en empêcherais pas.
—Par ma vie Aratus! Cette discussion est close! Tu ne quittera pas Aquilae aujourd'hui!

J'étais en colère, mon père ne voulait pas me laisser enquêter hors de la ville. Il préférait faire la guerre, voir des milliers de personnes mourir a cause de quelqu'un ou quelque chose. Il ne cherche en rien a comprendre. Il me traitait comme un enfant, j'en avais marre. J'ai décidais de quitter la pièce en trombe avec Zéno qui me suivait derrière, et je me rend de nouveau dans mes appartements, une fois arriver Zéno commence me dire:
—Je dois avouer que je suis déçus excellence, je l'aurais bien assommé pour que vous puissiez accomplir votre tache; me dit-il d'un aire humoristique.
—Zéno se n'est pas le moment de plaisanter, et vous n'avez pas a vous mêlez de cela...
—Épargnez moi vos réflexions, mon chef m'a déjà sermonné sur certaines de mes actes.
—Alors vous comprenez ma colère envers mon père actuellement, ai-je dit.
—Je n'obéis pas pour autant. Il convient parfois de faire se que l'ont juge bon et tant pis pour les conséquences.
—Je devrais y aller celons vous? ai-je dit a Zéno, d'un air intrigué.
—Ce que je pense n'a aucun intérêt.
—Et si il s'avère que mes intuitions son bonne, et que je ne revenais pas. Qui serais le prochain empereur d'Aquilae? Il n'y a pas uniquement ma vie en jeu.
—Quel sorte d'empereur espère Aquilae? Un empereur qui risque sa vie pour protéger son peuple? Ou un empereur qui se contente d'obéir a son père?
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:48

Chapitre 8: Préparatif

Zéno avait raison, je devais faire se que je pensais juste. Cela impliquais de désobéir un mon père. J'étais entrain d'observer la ville, imaginant se qu'elle deviendrais pendent la guerre, comment le peuple réagiraient. Je me retourne afin de faire face a Zéno et je lui dit:

—Si nous devons le faire contactez Léna; ai-je dit
—Excellence, pardonnez ma curiosité, ne devriez vous pas éviter de lui en informé?
—Léna s'entraine depuis enfant, afin d'entré dans nos service militaire, je pense que son aide nous sera utile.
—Bien excellence, je vais immédiatement lui informer de votre départ ainsi que de votre demande.

Zéno quitte mes appartement afin d'aller retrouver Léna, pendent se temps la, j'ai décidais d'aller m'équiper. Je préparais mes affaires, et je jetais mon regard sur mon étagère ou était disposé mes armes, quand je m'y approche afin de prendre mon brassard et de l'enfiler. Vous allez me dire que cela n'est pas une arme, en effet sa n'en est pas une. Mais ce brassard n'est qu'une apparence, car en faite il dispose d'une grand technologie qui lui permet de former un champ de force circulaire quand je l'active, ce qui fait de ce brassard un bouclier performant.
Ensuite j'ai décidé de récupérer l'arme de pointe digitale afin d'assurer ma sécurité, car j'avais le présentement que j'en aurais besoin. Je suis ensuite de retourné préparer mon paquetage quand je retourne une nouvelle fois vers l'étagère. Un coffret en bois était disposé au côté de mes armes, je l'ai ouvert doucement en apercevant a l'intérieur un bracelet en bronze munie d'un pendentif accroché magnétiquement au bracelet. Il était en forme triangulaire, quand ont le détache un processus de dé-miniaturisation se met en fonction, et se simple triangle de bronze s'agrandit et prend forme, devant un épée faite entièrement de bronze. Elle m'a était offerte par mon père quand j'avais 11 ans, comme cadeau de mon début d'entrée dans l'adolescence.
Deux heures se son écoulé avant que Zéno ne revient, il m'a informé qu'il avait bien prévenue Léna de mes intention et m'a averti aussi qu'elle était hésitantes et qu'elle souhaitais me voir devant le Palais, sur la grande place impérial.

—Zéno, vous me retrouverais se soir vers 23h00 dans le hangar a navette au 112ème étage. Léna et moi nous vous rejoindrons là bas. Il y a moins de surveillance, cela sera plus simple pour passer.
—Bien excellence; il s'est incliné devant moi et je lui dit qu'il pouvait disposer.

J'ai décidé de descendre retrouver Léna, afin de lui donner des explications convainquent. Quand je suis arrivé dans le hall de nombreuses personne inclinèrent la tête a mon égard, Je franchi ensuite les portes me trouvant a présent dehors. Elle était là, a côté de la fontaine se trouvant au centre de la place impérial, elle avait l'air inquiète. Je suis parti la rejoindre pour lui parler.
—Aratus, peux tu m'expliquer? Zéno m'a dit que tu comptais quitter la ville
—Nous allons partir se soir en direction de la base Storn, elle se trouve dans la montage au nord de notre territoire.
—Attend une seconde tu veux réellement quitter la ville? toi? se serais bien une première, tu n'a jamais mis les pieds en dehors d'Aquilae.
—Si nous voulons découvrir les vrais coupables, oui. C'est pour cela que Zéno m'accompagne et que je te demande aussi de m'accompagner. J'ai découvert certaines choses étrange, qui ne peux être résolu derrière des écrans.
—L'empereur peux bien envoyer des hommes vérifier tes dires; me dit-elle, ce lui semblé logique.
—Il le peux, mais il ne veux pas. Pour lui la guerre a déjà commencer, et qu'il faut a présent apprêter notre défense. J'ai l'impression que se que j'ai fait, ce délais que j'ai eu avec le président, n'est autre que un délais de préparation, avant les batailles, lui ai-je dit d'une voie agacé.

Je fixais Léna, mon regard lui montrais que j'étais confiant de se que je voulais faire. Que j'étais prêt a tous donner pour garantir une autre fin possible. Elle s'est rapproché de moi et m'a serré dans ces bras pour me dire qu'elle allait m'aider, et qu'elle ne me laisserais pas partir seul.
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:49

Chapitre 9: Le départ

La nuit commençait a tomber, j'étais dans mes appartements entrain d'observer le Panthéon des Dieux, me rappelant toute les épreuve qu'ils ont du accomplir pour nous protéger. J'espérais qu'ils me soutiendraient dans mon voyage, que je sache qu'ils ne nous laisserons pas tombé. Mon père était contre mes attentions, alors j'espère que les Dieux soient de mon côté afin de me sentir moins seul. Quand une voie me fit sortir de mes pensés.

—Aratus.
Il s'agissait de mon père, je ne l'avais pas entendu rentrer, j'étais tellement adsorber par se que je faisais que j'en oublié ou j'étais pendent plusieurs minutes.
—Père; je tourne ma tête vers sa direction le voyant se mettre sur ma droite.
—Depuis enfant tu a toujours admirer le Panthéon, je me souviens une fois un tu nous avais dit avoir vue un dieu au au niveau d'une des colonnes, il laisse entrevoir un léger sourire et continue. Je tenais a te voir, afin que nous discutions de notre altercation.

S'étais bien la première fois qu'il venait a moi, en vue de calmer le jeu. J'étais toujours en colère contre lui, j'avais l'impression qu'il ne me comprenait pas.
—Je sais que tu aimerais tant préserver l'harmonie qui est installer dans se monde, mais parfois nous sommes obligé de faire des choses que nous voulons éviter.
— Vous n'évitez rien. J'ai une solution qui pourrais éviter tous cela. Vous ne comptez toujours pas a y réfléchir?
—Aratus, la solution que tu propose demande beaucoup de temps. Comme tu le sais nous ne pourrons pas avoir cette période pour trouver le responsable, si il y en a un.
—Il y en a un père, j'en suis certain. Mais sa n'a plus d'importance maintenant, vue que vous comptez déclencher la guerre. Bientôt se palais verra du sang couler sur ces murs, parce que vous n'avez pas voulu voir qu'il y avait encore un espoir.
—Je suis vraiment navré de se que tu pense de mes actions. J'espère que tu comprendra un jour Aratus.
—C'est aussi se que j'espère envers vous père. La voie que je laissais paraitre a mon père n'était autre que de la déception envers lui. Quand mon père s'aperçut du remord que j'avais contre lui, il décide de quitter mes appartement de façon a me laisser seul pour me laisser réfléchir. Avant de franchir la sortie il s'est arrêté.
—Fils, un jour tu verra que rien est simple; puis il quitte mes appartements.

La lune était déjà haut de le ciel étoilé, Léna et venu me rejoindre dans mes appartements afin de partir. Mon père ne se doutait pas que j'étais sur le point de partir et d'aller a l'encontre de ces dires, mais il avait quand même placé des garde a l'entrée afin de me surveiller. Mes affaires étant prête, ont se dirigent vers une deuxième sortie, qui se trouver caché derrière mes affaires dans le dressing. Quand je n'étais q'un enfant je l'emprunter régulièrement pour aller me balader. Une fois le passage prie nous nous retrouvons dans les couloirs afin d'aller retrouver Zéno a la navette. Une fois arrivé a l'étage du hangar, nous réussissions a passer sans qu'un garde nous interpelles et ont fini par apercevoir Zéno entrain de charger ces affaires dans la navette. Nous le rejoignons et nous embarquons dans la navette privée. Zéno se place au commande du vaisseau et nous demande de nous attacher. Une fois les moteurs allumé nous avons quitter le hangar en direction de réponse...
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:50

Chapitre 10: Balade avec le Prince

Nous étions a bord d'une navette privé, Zéno se trouvait a l'avant pilotant l'engin quand a Aratus il se trouvait en face de moi, il était magnifique. Il avait un regard qui me déstabilisé, ces yeux était noir comme la nuit, ces cheveux était cours est ils étaient également noir avec un léger balayage gris argenté, sa peau était bronzé. Le prince portait une barbe de trois jours, et il avait toujours pour habitude de se gratter la tête en souriant bêtement quand je le mettais mal a l'aise, c'est quelque chose que je trouais mignon. Il portait un t-shirt noir moulant, qui nous laissé apercevoir sont corps d'athlète qu'il avait sculpté d'année en année grâce aux entrainement de combat. Par dessus Aratus portait une veste en cuire noir avec un bande a la verticale argenté sur le côté gauche. Il avait toujours sur lui son collier en argent massif, ou était accroché deux pendentifs, l'un est un aigle, l'autre un anneau en bronze, il portait un pantalon noir avec une ceinture en cuire. Depuis que je connaissais Aratus, il a toujours porté du noir avec une teint d'argent, je ne l'ai jamais vue porté des couleurs claire.

—Qui a-t-il? dit Aratus
—Au rien, j'admirais juste tes pendentifs, lui ais-je dit.
—Je ne les quitte jamais; Aratus les prends dans sa main les fixant comme si il s'agissait d'un trésor d'une grande valeur. Ils font parti de moi, je ne pourrais m'en séparer.
—Je comprend...elle doit te manquer?
—Tous les jours. J'aimerais que ma mère sois là aujourd'hui, apprendre a la connaitre, je n'ai jamais eu cette chance. Je suis sur qu'elle aurais réussi a raisoner mon père.
—Je suis sur qu'elle aurait était fier de se que tu es devenu, lui ais-je dit en souriant.
—Elle t'apprécierait, j'en suis certain. Je me souviens encore quand ont nous surveillais, afin que l'ont évite de faire courir tous les gardes du palais.
—Oui, enfin, s'était surtout toi qui chercher a rendre fou les gardes.
Nous rigolions tous les deux en repensent a nos souvenirs quand nous étions encore des enfants. Puis nous étions presque arrivé a la frontière montagnère quand Aratus dit:
—Dans combien de temps arrive ont Zéno?
Zéno était très concentré dans son pilotage, ont ne l'avait pas entendu depuis que nous avions décollé.
—Nous y serons dans environs 15 minutes altesse; affirma Zéno.
—Merci. Avant que nous arrivons, je dois vous demandez de ne pas faire référence de mes titres, tachons de rester discret personne ne doit savoir que nous sommes en dehors de la capitale.

Je continuais de fixer Aratus puis je lui dit:
—Quand tu dit "nous" tu veux dire surtout toi? j'imagine le regard des gens se demandent se que peux bien faire le Prince a la frontière.
—Oui surtout que comme tu a dit auparavant, je n'ai jamais quitter Aquilae, personnes ne doit savoir qui je suis réellement, donc vous m'appellerez simplement par mon prénom; heureusement que là ou nous allons très peux de gens me connaissent.

Aratus savais que dans les zones éloigné, les personnes ne connaissaient pas son visage, du fait que qu'il apparait seulement dans les rues d'Aquilae et que qu'il n'ai jamais assisté a une quelconque cérémonie, son père voulais le préserver de sa notoriété. Quand j'observais par le hublot de la navette je voyais la zone d'atterrissage se trouvant a 600 mètre d'altitude de la montagne.
—Nous sommes arrivé, préparez vous a l'atterrissage, dit Zéno d'un air satisfait.
Au moment ou nous commençons la descente Zéno active le système d'occultage afin que personnes nous voient.


Dernière édition par Chokev le Lun 9 Avr - 21:13, édité 2 fois
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:51

Chapitre 11: Incursion

Cela était impressionnant, je voyais les montagnes depuis mes appartements mais s'étais la première foi que je me trouvais au pieds de celle-ci. Une grande base y était, nous en apercevons qu'une petite partie, car la majorité de la base était enfoui dans la montagne. D'ici je voyais quelques soldats qui garde l'entrée ainsi que des navettes de transports, cette base était réputé pour être l'une des plus sécurisé de notre empire, du au fait de sa localisation. Juste a côté se trouvait un tunnel, là ou passaient les navettes qui désire partir ou revenir.
Une foi la navette atterrit, j'ai ouverts la porte quand je suis descendu de l'appareil j'ai senti un léger vent frais sur mon visage, quand Léna est descendu a sont tour.

—Alors, se te fais quoi?
—Comment sa? Que veux tu me dire? Je dois avouer, que j'ai a moitié écouté Léna du fait que j'observais attentivement la bases et a les montagnes. Il y avait autant de végétations, je n'aurais jamais pensé voir cela un jour.
—Et bien sa! Elle fait un geste de gauche a droit avec ses bras pour me montrer se qui nous entourais. Sa doit te faire bizarre de te retrouver ici, toi qui a l'habitude de ton palais et des rue d'Aquilae.
—Tu a raison Léna c'es a la foi étrange comme c'est magnifique. Je n'aurais jamais crue que j'aurais eu le temps de me rendre a l'extérieur de la capitale.
Zéno venais a peine de finir d'éteindre les moteurs de la navette qu'il est venus nous rejoindre.
—Il n'y a pas que la capital et votre palais excellence, me dit-il d'un air arrogant. Vous avez encore tant de chose a voir. Nombreux son les cités dans l'empire, certaines se sentent abandonné par votre famille, Zéno sentais qu'il avait offenser Aratus et a tenté de se rattraper. Pardonnez moi excellence, je ne sais pas se qui m'a pris.
—Vous savez Zeno, je ne suis pas se que vous pensez que je suis; Je sentais bien que quelque chose le gêné. Dite moi réellement le fond de votre pensez, je ne vous en tiendrais pas rigueur.
—Ah bon? Et bien beaucoup pense que vous êtes arrogant et condescendant, qui n'attend qu'une chose, c'est qu'ont lui sert tous sur un plateau argent. Votre famille a été très bon pour notre Empire depuis sa fondation, mais en se moment certains doute elle, et doute de vous.
Zéno n'avait pas mâché ses mots, comme si cela le touché. J'avais l'impression qu'il pensez la mes chose que c'est personnes.
—Et bien les gens se trompe, ils ne me connaissent pas, sans nous rien de tous cela n'aurais existé, mais après cette mission qui nous aura évité de nombreux morts, je suis certain que le peuple n'aura plus de doute en mon égard et celle de ma famille.

Zéno ne savait pas si il avait bien fait de dire sa a Aratus, mais il savait qu'il était trop tard pour revenir en arrière. Nous passions discrètement autour de la base, afin de regarder se qu'il s'y passé. Zéno a sortit une paire de jumelle puis après quelque secondes de silence ont l'a entendu lâcher:
—Wouah, je n'ai jamais vue sa!
—Que voie-tu? lui ai-je dit. Passe moi les jumelles.
—Regardez, je n'ai jamais vue rien de tel, vous allez être aussi impressionné que moi.

J'ai regardé a travers les jumelles quand j'ai étais stupéfait par se que je voyais. Il y avait de nombreuses caisses d'armes, mais surtout des missiles qui était entrain d'être installé, mon père a du ordonné cela, afin de se préparer. Ces missiles était les plus mortelles que nous disposions, a elle seul elles étaient capable de détruire tous se qui se trouvé a plusieurs kilomètres a la ronde, sans laisser aucune trace de se qui se trouvé avant...
—Se n'est pas bon, mais alors pas du tous. J'ai bien peur que la situation sois plus grave de se que je pensais
—Que veux tu dire Aratus? m'a demandé Léna d'un air inquiète.
—Se que je dit c'est que normalement il ne devrait pas avoir toutes ces caisses de matériels est surtout il ne devrait pas avoir ces missiles. Cela risque de nuire a mon accord que j'ai passé avec le président de la fédération d'Aelor, et si ces missiles son là c'est que quelqu'un compte les lancer.

Zéno et Léna se demandé en quoi cela pouvais tant m'effrayer, puisque pour eux s'était logique d'équiper la base qui se trouve a la frontière depuis les attaques qui a était causé.
—Vous pensez que quelqu'un va s'en servir? demande Zéno.
—Ont équipe pas une base frontalière de missiles capable de raser tout un territoire juste pour le plaisir, ou par simple précaution. Le conseillé de la défense a du convaincre mon père de les installer.

Zéno et Léna n'en revenais pas de se que je disais. Il ne pensait pas que l'Empereur était capable d'utiliser de tel moyen.
—Retournons a la navette. Nous allons nous reposais. Ont continuera demain nos recherches, leur ai-je dit.

Les trois jeunes se sont replié en direction du vaisseau pour pouvoir quitter les lieux mais au moment de leur retour ils sont stoppé par un groupe de soldats des forces d'Aquilienne. Dans se groupe je voyais que l'un d'entre eu était capitaine, je l'ais remarqué grâce a ces galon. Il s'est avancé vers nous et nous à observé. Il avait les cheveux blond et court, ces yeux était vert, son teint était mat avec une cicatrice qui arboré sa joue gauche. Le capitaine était habillé en uniforme militaire, nous ne disons rien face a lui, restant figé comme si nous étions des enfants qui venais de se faire prendre entrain de faire une bêtise.
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:53

Chapitre 12: Un homme sans visage

Alors que nous comptions retourner a la navette, des soldats nous ont remarqué et nous à appréhendé.
—Que faite vous ici bande de jeunes! La zone est interdite, si vous voulez passé c'est de l'autre côté la voie.
—Navré ont c'est perdu, nous cherchons le chemin pour aller en direction de la capitale, leur ai-je dit

Le Capitaine nous à observé une nouvelle foi, quand il a remarqué que nous portions des armes.
—Tien tien, que faite vous avec des armes? Vous savez qu'il est interdit d'en porter si vous n'êtes pas un soldat. Les civils non pas le droit au port d'arme; dit le capitaine d'un ton sec.
Je ne savais pas comment lui expliquer la présence de nos armes sans lui révéler mon identité jusqu'à que Léna sois intervenue:
—Capitaine, nous sommes des membres de la garde impérial, notre chef Zeno; Elle le montre du regard; peux vous le confirmer, nous avons été envoyé par nos supérieurs afin d'enquêter en extérieur.

Le Capitaine avait des doutes que nous soyons réellement des membres de la garde. Sans doute du au fait qu'il n'y ais jamais eu de gardes impériaux en dehors de la capitale, sauf si un membre de ma famille était présent.
—Capitaine, permettez moi de me présenter. Je suis le lieutenant Zéno membre de la garde impérial. Je suis responsable de ces deux jeunes membres, veuillez leurs excuser de leur imprudence, ainsi que de vous avoir menti dès le début, mais nous sommes en mission officiel; Il a sortie une carte se trouvant dans sa poche droite, montrant son appartenance a la garde impérial au capitaine.
—C'est bon, je vous crois, il fallait me le dit dire plus tôt, nous sommes sur nos garde nous aussi, toutes personnes qui se trouve dans le périmètre de la base son arrêté, mais ca va aller vous êtes des notre. Cela fait plaisir de voir des collègues.

Je me suis senti rassuré, pendent un moment j'ai bien eu peur que l'ont est était démasqué. Je me suis mis a souffler discrètement comme rassuré que le capitaine a mordu a l'hameçon.
—Je vous remercie capitaine, dit Zéno. Mais... Si cela pouvais rester entre nous. Nous ne sommes pas sensé dire qui nous sommes, vous comprenez ordre du nos supérieurs.
—Il n'y a pas de soucis, d'ailleurs pourquoi ne restez vous pas pour la nuit? Vous n'allez pas rester dehors, vous pourriez repartir demain matin. Se n'est pas sur avec tous se qui se passe; Demande le capitaine.
Zéno me regarde puis dit au capitaine:
—Se serais aimable de votre part capitaine. Depuis toute la journée nous marchons, un peux de repos nous ferais du bien.
—Parfait suivez nous; le capitaine se retourne puis nous conduit jusqu'à la base.

Une foi passé la barrière, nous avons vue de prêt les nombreuses caisses d'arme ainsi que les missiles. Quand nous sommes arrivé a l'intérieur de la montagne par le biais d'un ascenseur, le capitaine a posé sa main sur un interface qui nous a fait descendre. Une foie en bas nous avons étaient surpris du nombre de soldats, beaucoup trop pour une simple préparation. Je trouvais cela de plus en plus étrange, quand j'ai observé les alentours, j'ai eu comme une mauvaise impression. Surtout quand j'ai aperçue des écrans ou je voyais afficher des plans du territoire de la fédération d'Aelor ou des point stratégique clignoté. Il y avait même des simulations sur les tires de missiles et de différentes tactiques , quand nous sommes arrivé dans notre dortoir, le capitaine nous a laissé seul et nous en avons profité pour trouver des renseignements sur ces irrégularité que j'avais trouver la veille.

Nous sommes partie chacun de notre côté afin de ne pas se faire remarquer, Zéno et parti en direction de l'étage supérieur, Léna est rester a l'étage de nos dortoir, quand a moi je suis parti en direction des étages inférieurs. Quand je suis arrivé au niveau -24 de la base j'ai vue se que je pensé n'aurais jamais du voir... Il y avait tout un équipement pour faire la guerre, mais pas seulement. Il y avait des trains souterrain qui partaient dans des tunnels, quand j'ai regarder les écrans qui se trouvaient au dessus de moi, je voyais que leur destination était le cœur même de la ville d'Aelor mais il y en avais qui partaient également sur d'autre grande ville de la fédération. Pourquoi envoyer des trains là bas? Pendent que je chercher des informations sur se que je voyais, j'ai entendu une voie se rapproché. Je me suis immédiatement caché derrière la porte qui se trouver sur ma gauche. J'ai lassé la porte entre-ouverte afin de pouvoir observer et un homme est apparue, s'était le commandant de la base. Je l'ai reconnu grâce au dossier que j'ai lue concernant la base, il y avait une photo de lui. Il se trouvait avec un autre homme, je ne savais pas de qui il s'agissait. Je n'arriver pas le voir, mais étrangement sa voie me disais quelque chose j'ai donc décidais d'écouter leur conversation.

—Commandent, quand pensez vous être prêt? demande l'homme mystérieux.
—Monsieur, d'ici une semaines nous le serons. Le renouveau que vous voulez arrivera en temps et heures comme vous me l'avez demandé.
—Bien, il serais dommage de me décevoir, vous savez très bien que mon supérieur n'aime pas le retard; affirme l'homme mystérieux.
—Monsieur, nous serons prêt,. Je peux vous l'affirmez, mes hommes attendent cela depuis longtemps, mais je me dois de vous demandez quelque chose. Depuis que j'exécute vos ordres ,je n'arrête pas de pensé que cela pourrais déraper et sans vouloir douter de vous, les ordres viennent-ils réellement de l'Empereur? dit le capitaine d'un ton hésitant.
—Commandent, cela dérapera car tel et le but. Nous avons besoin d'une guerre total pour avoir un nouvelle avènement. Je ne peux rester plus longtemps des personnes m'attendent. Mais sachez une chose commandant, ne venais plus me dire que je vous ment sur les ordre de l'empereur. Sinon je vous ferais exécuter pour trahisons..

Je n'en revenais pas mon propre père aurais provoqué tous cela? Comment a-t-il pue? S'était de la haute trahison envers nos principe, mais qui était donc cet hommes? Qui se caché derrière tous cela? Je savais bien que quelque chose de bien plus menaçant se trouver sous la "couverture" de l'attentat. Je devais tous de suite retrouver Zéno et Léna afin de m'assurer qu'ils allaient bien.

En retournant a l'ascenseur j'ai remarqué une chose sur les écrans que je n'avais pas vue en arrivant. Les trains souterrain avaient plusieurs destinations, ils n'allaient pas seulement en direction de la fédération d'Aelor, chacun aller dans une capital de chaque nation, une à Ignis, à Ophis, à Peristera, à Korax et Lukos. Je n'en croyais pas mes yeux, autant de train ayant pour but d'aller dans des capitales, mais que pouvais contenir ces véhicules et qui a pue donner l'ordre de ces transport? Se que je me demandais par dessus tous, mon père était-il au courent de cela? J'ai décidé de ne pas rester plus longtemps et de repartir immédiatement dans les dortoirs quand j'y suis arrivé je voyais Léna et Zéno qui était déjà de retour.
—Alors, vous avez trouver quelque chose? leur ai-je demandé.
Léna à commencait a prendre la parole:
—Pour ma part, je n'ai rien vue d'extraordinaire dans cet étage, tous est normal. Je ne voie pas pourquoi tu pense que quelque chose cloche, tu t'inquiète beaucoup trop.
—Et bien moi, j'ai fait une découverte aux étages supérieur, j'ai trouvé un hangar ou se trouvais de nombreuses navettes ainsi que des chasseurs tactiques, ils étaient tous magnifique, et vous votre altesse? quelque choses dans les étage inférieurs?
Je les aient observé un instant puis j'ai regardé autour de moi cherchant que personne ne nous écoute.
—Non, je n'ai rien vue d'alarmant, je pense que le mieux c'est qu'ont n'aille dormir un peux. Nous sommes tous fatigué, et demain nous resterons encore un peux afin d'être sur qu'il s'agissait d'une erreur. Car après tous, j'ai peux être mal observer se qu'il y avait sur ces rapports

J'ai préfère ne rien leurs dire pour le moment, je devais en découvrir plus. Cette base frontalière, n'était pas comme toute les autres bases, ont disposé au total de huit bases frontalière. Celle là était la plus protégé du au fait qu'elle était la plus proche d'Aquilae, mais elle n'a jamais était autant armée c'est là que sa devenez étrange. Surtout que la plupart des ravitaillement ont était fait avant les attaques.

Nous sommes allez nous coucher, espèrent que la nuit puisse m'aider a comprendre se qui se produisait. Zéno et Léna ne se doutait de rien de se que j'avais vue, mais je comptais leurs dire quand nous aurons quitter cette base. Pour l'instant je devais essayer de dormir, même si cela était difficile en sachant que mon père était peux être l'investigateur de toute cette supercherie.
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Message par Chokev Lun 9 Avr - 17:55

Chapitre 13: Palais Impérial

Au même moment, alors que l'empereur était en entrevue avec le conseillé de la finance, il a était avertit par les gardes du départ de son fils. L'empereur s'est donc rendu dans les appartements du prince accompagné par son conseillé des finances, afin de constater son absence.
—Surveiller des appartement vide...dit l'empereur aux gardes. Puis il bouscule violemment l'un d'eux. Partez en quête de mon fils! Retrouvez le! Et ramenez le a la capitale!
Les gardes sont partie immédiatement se mettre a la recherche du Prince, espèrent le retrouver rapidement.

Le lendemain l'empereur ayant était averti de l'absence de son fils. Il était alors inquiet et en colère contre celui-ci. L'empereur ne pouvais supporter de savoir son fils en dehors de la capitale seul, il lance donc des soldat a sa recherche ayant pour but de le ramener.
L'empereur se trouvais dans son bureau a régler des dossiers de l'empire toujours en compagnie de son conseillé des finances, mais il avait du mal a se concentrer. A se moment même des gardes et des chevaliers sont rentré dans son bureaux afin de leur faire leur rapport.

—Nos hommes, n'ont pas vue la moindre trace majesté. Il n'y a aucun signe du Prince Aratus, ou que se sois.
L'empereur s'est levé de sa chaise posant ces mains sur son bureau et dit au garde.
—Redoublez vos efforts, envoyez des chevaliers jusqu'aux cités les plus éloigné. Je veux que mon fils sois retrouvé! L'empereur était en colère, et d'un geste de la main il jette tous se qui se trouvait sur son bureau par terre.
—Oui majesté. Les gardes et les chevaliers partent de nouveau a la recherche du prince, en referment les portes derrière eux.
—Je suis terrifier a l'idée de se qui pourrais lui arrivé, mais qu'est ce que qui a bien pue lui passé par la tête.
—Je suis certain que Aratus se porte bien majesté, je pense que le prince poursuit un but bien précis; dit le conseillé d'un ton calme.

Après quelques minutes de discutions le conseillé de la finance a réussi a calmer et rassurer l'empereur. Il s'avait qu'il ne s'en remettrais pas si il lui arrivé quelque chose. Après cet échanges, l'empereur a congédié son conseillé afin de pouvoir rester seul.
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Message par Chokev Mar 10 Avr - 19:16

Chapitre 14: Quand je me là joue tireur

Le réveil a était éprouvant, quand je me suis levé j'ai aperçue Zéno qui était déjà debout entrain de nettoyer sa lance électrique. Quand a Léna, elle dormait encore, je ne souhaitais pas la réveiller pour l'instant, préfèrent profité de cette instant pour parler avec Zéno.

— Zéno, lui ai-je dit calmement.

—Majesté, il a dirigeait son regard vers ma direction et ensuite il a de nouveau plongé sont regard vers sa lance.

Je me suis rapproché de lui et je me suis assis a côté de lui observant se qu'il faisait. Sa lance était faite en bronze comme mon épée et sa lame était en forme de goutte. Il y avait un bouton sur la lance au niveau de la poignet qui était au centre  et permettait de la rendre électrique. La lance des gardes était différente de celle que nos chevalier utilisais, le bas de la lance était pointu qui permettais de porter des coups aussi bien avec la lame que l'autre extrémité, contrairement au lances des chevalier.

—Alors, comment es tu rentrais dans la garde? C'est rare de voir entrer des personnes aussi jeune dans se secteur.

—Et bien, il se trouve que mon père est une personne haut placé. Il a fait jouer ces relations pour me permettre d'y accéder. me dit-il, puis il s'est empressé de rajouter. Je dois vous informez qu'il l'avait fait sans mon consentement, puisque je voulais prouver ma valeur avant cela.

—Ah, je comprend mieux. Mais tu es quand même satisfait de se que ton père a fait pour toi. D'ailleurs de qui s'agit-il?

—Je ne souhaite pas en parler pour le moment, mais sachez que... wouah! Zéno a observé mon bracelet que je portais, il n'y avait pas fait attention au début. C'est se que je crois réellement?

—Ce bracelet? Si tu crois que c'est une arme, en effet c'est réel. J'ai démagnétisée le pendentif triangulaire, se qui a active le processus de dé-miniaturisation jusqu'à formée une épée faite en bronze.

Son pommeau était en argent massif, moulé en forme de tête d'aigle rappellent les armoiries de ma famille. L'épée était également composé d'une poignée sobre, vêtu entièrement de cuire et d'une garde plate en bronze. Sa lame était a double tranchant entièrement faite en bronze.

—Je pensais que s'était une légende, mais vous en portez une! Ou l'avez vous ou?

—C'est mon père qui me la offert. Attend, tu a bien dit une légende?

—Vous n'êtes pas au courent majesté? Selon la légende ce genre d'arme était manié par des... Zéno n'a pas eu le temps de finir sa phrase que Léna s'est réveillé en nous disant.

—Vous auriez pue faire moins de bruit, il y en a qui dormait ici.

Zéno est moi ont s'est regardé puis ont s'est mis a rigoler tous les deux comme si nous étions amis depuis des années. Léna ne comprenais pas, elle s'était levé et s'est dirigé vers nous.

—Bon, que fait-ont? Car il nous reste plus que 6 jours avant que le président nous demande les preuves de notre innocence, nous dit-elle d'une voie endormie.

—Et bien, nous allons continuer nos recheche. Puis ensuite nous partirons, leur ai- je dit.

Nous avons remballer nos affaire et nous sommes sortie du dortoir. Ont avait marché pendent plusieurs minutes, jusqu'à tombé dans une pièce ou se trouver le commandant entrain de discuter avec une personne en hologramme.

—Le Prince a quitter la capitale, je pense qu'il se dirigera vers votre positions, tachez de les empêcher de découvrir quoi que ce sois, dit l'homme hologramme.

—Bien monsieur, nous ouvrirons l'œil, dit le commandant.

—Restez sur vos gardes, il est accompagné par un membre de la garde impérial et une jeune fille.

—Vous avez dit un garde et une jeune fille? dit le commandant d'un air songeur.

—Qui a-t-il commandant?

—Rien monsieur. Nous vous informerons dès que nous serons prêt.

—Parfait, j'attend de vous que la fédération reste dans les même position qu'ils sont actuel, au palais c'est l'effervescence. L'empereur se prépare a entrer en guerre, il agit exactement comme je l'avais prédis. Je vous recontacterais.

—Bien monsieur.

L'hologramme s'était éteint laissent le capitaine seul dans la pièce, il avait appelé des soldats a le rejoindre et leur à demandé de nous chercher.

—Il se trouve que le Prince est dans la base, la description est formel. Se son les trois jeunes que nous avons trouvé hier soir, donc vous les empêché de quitter la base; dit le commandant a ces hommes.

—Bien commandant, mais ne pensez vous pas qu'il faudrait le ramener au Palais, si nous le gardons ici l'Empereur ne risque pas d'apprécier cela; demande l'un des hommes.

—Soldat, ne discuter pas mes ordres. Faites simplement se que vous avez a faire, vous ne voudriez pas être exécute pour trahison. Donc, je vous le redit une dernier fois empêché le Prince et ces compagnons de sortir de cette base; ordonne le commandant d'une voie ferme.

Les soldats se sont tous mis au garde a vous en disant a l'unisson "a vos ordre commandant" et se sont dirigé vers notre direction.

—Bon ont doit filer tous de suite, ils ont découvert notre véritable identité, ais- je dit.

Léna et Zéno m'ont suivis dans les couloirs, quand un des soldats nous a aperçues et s'ai mis a crier pour avertir ces compagnons.

—Ils s'ont là! Attrapez les!

Les trois jeunes gens ont tenté de trouver une sortie, mais en suivant un des couloirs il se sont retrouvé bloqué. Zéno à décide de nous dirigeais vers un autre couloir qui nous avais fait arriver a des escaliers, ont à monté les étages jusqu'au moment nous sommes arrivé dans un couloir qui donner directement sur le hangar. Des soldats nous poursuivais mais nous continuions a courir et ont fini par se diriger vers une navette de transport militaire. Zéno s'ai mis directement au commande, mais malheureusement pour nous il n'avait jamais piloté se genre de navette.

Pendent que Zéno tentait de démarrer le vaisseau, les soldats nous ont encerclé, nous laissant aucun moyen de nous échapper, j'ai activé le processus dé-miniaturisation de mon épée et je me suis jeté sur eux afin de les mettre hors d'état de nuire. Léna quand a elle avait prit son arme digital et se mettait a tirer sur eux en mode paralysant, afin de gagner du temps. Les soldats n'avançait plus, nous arrivions a les contenir, mais d'autre arrivés et nous savions que nous pourrions pas les tenir bien longtemps quand je dit:

—Zéno! Depeche toi! Ont ne va pas tenir longtemps comme sa!

—Je fais se que je peux votre altesse, mais cette navette n'est pas comme les autres!

A peine que Zéno ais fini sa phrase que la navette s'est mis à démarrer. Il a alors commencé a se tourné en direction de la sortie du hangar.

—Vite monter!

Nous ne tardons pas a partir, Léna se dirigeait immédiatement dans le vaisseau pendent que je continuais a me battre pour la couvrir, une foi qu'elle se trouvait a bord je me suis mis courir vers la navette en me faisant tirer dessus comme si j' étais un animal. Quand ont étaient tous a bord Zéno a enclenché les moteurs a pleine puissance et a quitté le hangar, mais deux chasseurs tactique nous suivais. Ils sont dirigé directement depuis la base grâce aux ordinateurs. Il a tentait de leur échapper, mais ils étaient très rapide et en plus de cela il nous tirais dessus. Zéno a augmenté la puissance quand a moi je me suis assis juste a côté de lui afin de l'aider.

—Je vais t'aider Zéno; lui ai-je dit en commencent a observer le tableau de bord cherchant les manettes de tire.

—Que faites vous excellence?me dit-il d'un air surpris.

—Je tir et tu pilote; lui ais-dit pendent que je familiarisé avec les commandes.

—Excellence sans vouloir vous manquez de respect, je n'ai pas le temps de vous faire un cours de de tire. Puis comment cela se fait il que l'ont sa fait attaquer par nos propre soldats!

— Figurez vous que mon père m'avait fait un programme complet sur les manière de viser! Quand au deuxième point, et bien il se trouve que certains  travail pour notre comploteur! Mais nous n'avons pas le temps pour ces détails.

Nous avions beau essayer de les semer, mais rien a faire. Ces chasseurs étaient bien trop rapide que nous. Je comprenais maintenant, pourquoi mon père en avait positionné dans des positions stratégique. Jusqu'au moment ou l'un des chasseurs est passé devant nous et je me suis immédiatement mis en action en tirant dessus, au bout de quelque secondes j'ai réussi a le détruire.

—Aratus! Pourquoi tu l'a tuer! me dit Léna qui se trouvé a l'arrière.

—Ne t'en fais pas Léna, ces chasseurs son piloter depuis des ordinateurs!

Je restais concentré sur le chasseur restant, quand il a réussi a nous touchais. Nous avons tous senti la secousse provoqué par le tire. Je l'ai vue passé devant nous mais je n'arrivais pas a le détruire. Zéno a tentait de se mettre en position pour que je puisse tirer, mais ce chasseur partait dans tous les sens, puis nous avons essuyer un autre tir. S'était le dernier chasseur, mais il était très bien manier par sont pilote, nous étions en désavantage du au fait que nous étions simplement un navette et que nous étions seulement équipement d'arme de défense. Se qui fait que nous sommes moins efficace face au vaisseau qui nous tirais dessus.

—Excellence! Tirer! m'a dit Zéno, alors qu'il tentait de faire de son mieux pour ne pas que se vaisseau nous détruit.

J'ai a peine entendu Zéno me crier dessus que je me suis mis a tirer sur le chasseur, il avait réussi a éviter mes tires a de nombreuse reprise, puis au final j'ai réussi a le toucher. J'ai continuais a lui tirais dessus jusqu'à qu'il sois détruit. Après s'être occupé des chasseurs nous nous sommes éloigner le plus loin de la base.

—Nous devons retourner a la capitale excellence, m'a informé Zéno d'un air soulagé.

—Non, nous devons aller plus au sud Zéno. Nous devons nous rendre a Aestorm.

—Majesté, nous venons d'échapper a une mort certaine. Je pense qu'il serait plus sage de rentrer.

—Non! Se que nous venons de subir n'est autre qu'une preuve de se que je disais.

Nous commencions a nous disputais sur la destination que nous devrions prendre en oubliant Léna qui était assis derrière. Elle s'était relevé et s'est dirigé vers nous en pointant du doigt une lumière qui clignoté rouge.

—Les gars, c'est normal sa; nous a alors dit Léna.

Zéno a commencé a faire pleins de manipulation afin de régler le problème quand il nous a dit.

—Nous allons devoir faire un atterrissage forcé, nos moteurs son endommagé.

Nous nous sommes regarder tous les trois puis Léna est retourné s'installer derrière. Zéno tentait de garder le contrôle du vaisseau mais il y avait du mal. J'ai voulu l'aider, mais il m'a repoussé. Nous avons commencer a perdre de l'altitude laissant apercevoir la foret, au fur est a mesure que l'on descendait, je voyais un Lac se trouvant dans une vallée remplis d'arbres et entouré par les collines. Zéno n'arrivais plus a faire remonter la navette, nous descendions beaucoup trop vite. Il avait beau essayé de nous faire ralentir, le vaisseau ne ralentissait pas comme il le devrait.  Il  a commencé a relever l'avant du vaisseau avant de toucher le sol. La navette s'était écrasé, je ne me souvenais plus vraiment de se qui s'était produit ensuite, je voyais flou et j'avais des bourdonnement dans mes oreilles. Quand j'ai regardé mes mains, je voyais du sang, je ne savais pas d'ou cela venais, j'ai essayé de voir comment aller Zéno et Léna mais je n'y arrivé pas. Puis j'ai commencés a apercevoir deux silhouettes qui se sont approché et m'ont pris avant que je perde connaissance.
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Message par Chokev Mer 11 Avr - 16:43

Chapitre 15: Un rêve étrange

Je me trouvais au palais impérial dans mes appartements, ma mère se trouvais face a moi, elle était magnifique. Elle portait une cuirasse ou était accroché par le biais d'une broche en bronze une cape de couleur beige. Sur son avant bras droit, elle portait un brassard de couleur argent en forme d'éclair. Ma mère était d'une taille moyen et mince, son visage était ovale d'un teint bronzé. Quand je la regardais elle m'apportait comme un certain réconfort que je cherchais depuis toujours. Ces cheveux était long et ondulé de couleur noir avec des nuance de gris argenté. Elle avait les yeux bleu électrique, qui reflétaient sa sincérité, puis mon regard a était interpellé par se qu'elle portait au niveau de la taille. Elle avait une épée en bronze, sa lame était courte a double tranchant. La poignée était recouverte de cuir avec un pommeau en forme d'aigle, symbole de nos armoiries.

—Aratus, m'a-t-elle dit en se rapprochant de moi. Mon enfants; elle était ému en me voyant et m'a enlacer dans ces bras.

—Mère; ai-je dit d'un ton triste. En voyant ma mère m'enlacer, j'ai fait de même en la serrant fort dans mes bras.

—Tu n'étais qu'un bébé, la dernière fois que je t'ai serré dans mes bras. Elle s'est mise a me regarder fixement. Son regard m'apaisé et me faisait sentir en sécurité. Je me souviens de tes yeux. Tu me regardais intensément, c'est peux de temps avec toi ont était les plus précieux de ma vie.

—Je suis désolé, lui ai-je en retenant mes larme.

—Tu n'a aucune raison de l'être, Aratus. Elle posa sa main droit sur mon visage.

—Vous avez perdu la vie a cause de moi.

—Non! Tu n'est pas responsable!

—Je ne supporte pas l'idée que vous soyez morte a cause de moi.

—Ne pense pas a cela! C'est ton père qui devrais se sentir coupable de mon décès.

—Que voulez vous dire? lui ai-je dit intrigué

—Cela n'a aucune importance. Ce qui importe c'est que tu sois en vie.

—De quoi mon père devrait-il se sentir fautif?

—Aratus, mieux vaut laisser cela dans le passé.

—Vous ne pouvais me laissez avec d'avantage de questions. Je vous en supplie; je voyais qu'elle hésitait a me le dire.

—Ton père, voulais désespérément te protéger, sans toi la dynastie des Valerius allais s'éteindre. Mais je ne pouvais pas assurer ta protection car j'étais dans un campement afin de me préparer a la bataille. Nous manquions d'homme pour y survivre.

—Dites le moi; lui ai-je supplié.

—Ton père m'a dupé, il m'a fait croire qu'il allait nous envoyais un bataillon et m'a demandé de te renvoyer au Palais. Alors que l'ennemis nous a attaqué, j'ai demandé a l'un des chevalier de te conduire jusqu'à la capitale, afin que l'ennemi ne te trouve pas. Mais il n'a jamais envoyé de soldats nous soutenir.

—Non...non c'est faux.

—Je suis désoler Aratus, ton père c'est joué de toi, comme il c'est joué de moi. Nos ennemis étaient beaucoup plus nombreux que nous, ton père savait cela.

—Non; je ne croyais pas se que me disais ma mère, cela était insensé.

—Il a sacrifié ma vie. La dynastie des Valérius grâce a se sacrifice ne s'est pas éteinte. Cela ne change pas le fait que je sois fier de toi. Et maintenant que je te voie, j'aurais donné mille fois ma vie.

—Mais...

—Que cela ne te change en rien Aratus.

A peine qu'elle avait fini sa phrase que je ne voyais plus rien, le noir était de nouveau là, puis j'ai aperçue de la lumière. J'ai commencé a voir des formes mais cela était encore flous. Je me suis concentré afin de mieux percevoir se qui m'entouré et j'ai vue des personnes qui étaient présent dans la pièce, entrain de s'occuper de d'autre personnes. J'ai remarqué que je me trouvais dans un lit avec des draps blanc. Il y avait également des notes médicale posé sur la petite table se trouvant a côté de moi.
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Message par Chokev Jeu 12 Avr - 16:36

Chapitre 16: Des sauveurs particulier

Je ne savais pas ou j'étais, cet endroit ne me disait rien et j'avais l'impression d'avoir fait un bon dans le temps. J'apercevais autour de moi plein de rideaux qui faisait office de séparation et de mur, il y avait également des personnes qui se trouvais sur des lits entrain de se reposer, ou d'être soigné. J'avais mal a la tête comme si ont m'avez frappé, je me suis rappelé que j'avais du sang sur les mains quand j'étais encore dans la navette tous désorienté. Mais je ne voyais rien, aucune blessures nul part mise a part quelque douleurs et que mes vêtement se trouver sur une chaise sur ma gauche, j'étais en sous-vêtement. Une personne se trouvé devant mon lit, je ne lui avait pas prêter attention au début cherchant a savoir ou je me trouvais. Il avait l'air timide, il bougeait nerveusement ces mains sur le rebord du lit. Il était grand et svelte, il devait avoir mon age. Son visage était rond au teint bruni. Ces yeux était de couleur pers et avait un regard soucieux. Il avait les cheveux ébouriffé de couleur brun, j'avais l'impression qui venais de se lever. Il a vue que je le regarder et a commencer a diriger son regard en dehors du miens.

—Ou suis-je? Qui êtes vous?lui ai-je dit.

Le jeune hommes a reposait son regard sur le mien, j'avais l'impression qu'il hésitait a me parler.

—Je suis Iréno, veuillez me pardonner. J'étais juste venu voir si vous vous étiez réveillé; me dit-il d'une voir basse.

Cette Iréno portait a peux prêt la même armure que ma mère portait dans mes rêve. Il avait une cuirasse avec une cape de couleur brune accroché par le biais d'une broche en bronze, tous comme ma mère. Il avait également un brassard sur son poignet droit et une épée accroché a sa ceinture, qui bizarrement ressemblé au mien.

—Non, non. Ou son les personnes qui était avec moi dans la navette?

—Ils ont perdu connaissance comme vous, mais ils se son réveillé se matin. Ils vont bien, ne vous inquiétez pas.

—J'aimerais les voir, pouvez vous me mener a eux? Bizarrement je me sentais en confiance ici, je sentais comme une force chaleureuse.

—Ils sont au Sanctuaire avec notre intendante, je vais vous y conduire.

Je me suis levé du lit, et j'ai commencé a me rhabillé. J'avais toujours mon bracelet-épée sur mon poignet ainsi que mon brassard-bouclier sur moi. Une fois que je mettais habiller je me suis diriger vers Iréno.

—Bien allons y! lui ai-je dit d'une intonation éclatante.

Iréno a ouvert la marche nous dirigeant a l'extérieur de l'infirmerie, une fois dehors j'ai était impressionné par ce que je voyais. Il y avait énormément de personnes qui était habillé pratiquement a l'identique que mon guide. Cet endroit avait tout l'air d'être un campement, ont était en plein milieu de la foret entouré par des collines. Quand ils m'ont aperçus ils m'ont fixé, donnant l'impression qu'ils me dévisageaient. Nous sommes passé devant une arène qui ressemblé a celle qu'il y avait dans la capitale, il y avait également des pavillons qui se situer non loin de l'infirmerie, après j'ai aperçus un édifice de forme rectangulaire, qui avait des tissue beige, attacher sur les poteaux qui soutenais le bâtiment, le toit étais aussi fait en tissu. Je pouvais apercevoir a l'intérieur de nombreuses tables bois. Nous avons continuer a marché et ensuite j'ai vue une immense bâtisse en pierre qui donné l'impression d'être tailler dans la roche.

—Voici le Sanctuaire, venez.

J'ai continuer de suivre Iréno, ne sachant pas encore ou j'étais. J'avais l'impression d'être dans un rêve. Une fois que nous sommes rentrer a l'intérieur de cette maison, nous nous trouvions dans une grande pièce ou se trouver des canapés qui se faisait face devant une cheminé. Zéno et Léna étaient assis dessus, il y avait également une femme présente avec eux. Quand elle m'a vue elle s'est levé et s'est dirigé vers moi, puis Zéno et Léna se son également levé venant me voir. Léna ma serré dans ces bras afin de s'assurer que j'étais bien vivant, quand a Zéno il m'a simplement salué d'un geste de la tête.

—Bienvenue au Campement, Prince Aratus. Elle s'est agenouillé devant moi et s'est relevé.

J'étais surpris qu'elle cite mon titre et mon prénom. J'ai regardé Léna et Zéno afin de savoir si s'était eux qui avait donné mon identité, mais ils avaient l'air aussi surpris que moi. Je me suis donc demandé comment cette femme a-t-elle pue savoir qui j'étais, et savoir également quel était cet endroit. Ce lieu avez l'air d'être plus que un simple campement, étrangement je me sentais serein.
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Message par Chokev Ven 13 Avr - 16:46

Chapitre 17: Une réalité Irréel

Cette femme connaissait mon statut, elle s'avait exactement qui j'étais. Moi est mes compagnons avons était sauvé par ces personnes étrange, logent dans un campement qui nous donner l'impression que le temps s'était arrêté a une époque passé.

Cette femme avait une allure élégante, elle était mince et svelte. Son visage était creux au teint clair, ces yeux avait un éclat vifs de couleur noisette, l'intendante avait une petite cicatrice sur le bas de son œil gauche. Les cheveux de cette femme était long et ondulé au teint blond. Elle portait la même armure que mon guide et que toutes les autre personnes que j'ai pue apercevoir avant d'arriver au Sanctuaire.

—Merci. Dite moi; qui vous a informé de mon identité?

—Nous attendions votre venue depuis longtemps. Vous êtes ici chez vous; m'a-t-elle dit d'une voie douce.

—Ou sommes nous exactement? Cet endroit ne me dit rien.

J'ai jeté un regard sur mes compagnons et j'ai vue des éclats dans leur yeux, comme si ils étaient dans un rêve. Je ne comprenais pas leur émotion qu'ils ressentaient en se moment.

—Vous êtes au Campement, c'est ici que s'entraine de nombreux Stellis.

—Des Stellis? Cela ne me dit rien. Servez vous mon père?

Elle est passé a côté de moi, et s'est dirigé à l'extérieur. Je l'ai suivi, et Léna et Zéno était resté derrière moi, me suivant de prêt. De là ou ont était, ont apercevais tous le camp. Je voyais le Lac en contrebas ou des personne y était entrain de méditer, il y avait a côté des pavillons ou au centre se trouver un immense feux. Sa ressembler a un village au allure d'un camp, les bâtiments étaient construit sois en bois ou en pierre comme a l'ancienne époque. Je ne percevais aucun artifice technologique.

—Nous sommes des personnes choisi par les dieux. Ils nous ont offerts des dons  extraordinaire. Que nous devons utiliser pour de bonne causes, comme la justice et la paix.

—Je ne comprend pas vraiment, vous dites que les dieux vous ont choisi? Vous êtes des sortes de prêtre? lui ai-je dit d'une intonation hésitante.

—Non, nous ne sommes pas des prêtres, nous avons juste des dons que certaine personnes n'ont pas.

—Quel sorte de dons vous parlez? ai-je demandé par cuiriosité.

—N'avez vous par remarqué? A votre arrivé vous étiez blessé, et maintenant vous n'avez aucune blessures sur vous.

Léna s'est rapproché de moi en me lançant un regard vif.

—Aratus, j'avais une côte cassé a cause du crash. Et pourtant je n'ai plus rien, quand j'ai demandé des explications a cela, le médecin du campement m'a informé qu'il m'avait soigné. Pourtant il n'ont aucune technologie et de remède qui puisse accélérer les soins, je lui ai donc questionné et il m'a certifié que s'était grâce au dons de son dieu protecteur.

—Même situation pour moi, votre majesté; me dit Zéno.

Un campement venu de nul part, perdu dans les forets de l'Empire, nous aurais guérie grâce a des capacité surnaturel? Cela me paraissait impossible, j'avais déjà entendu des histoires que mon père m'avait raconté quand j'étais qu'un enfant, il nommait ces personnes comme étant des élus. Qu'ils avaient était choisi pour assurer la stabilité d'Océanus, mais que après la grande guerre ils avaient disparut, nous laissant derrière eux.

—Excellence, n'ayez aucune crainte. Tous vous sera expliqué dans peux de temps. Suivez moi, je vais vous présentez a une personne.

La jeune femme nous a fais traversé tous le camp, et nous sommes arrivé sur la plage de l'Océan. Il y avait personne, mais après quelque pas de plusieurs minutes nous nous sommes retrouver face a une falaise ou abrité une grotte.

—Entrez a l'intérieur altesse, certaine chose vous serons révélé.

J'ai observer l'intérieur de cette grotte, elle me disait rien qui vaille, après quelque secondes de réflexion je me suis tourné vers l'intendante.

—Qu'il y-a-t-il a l'intérieur? lui ai-e demandé.

—Des réponses. Vos amis et moi même allons rester ici, nous ne pouvons vous suivre dans se voyage; m'a-t-elle informé.

J'hésitais a y entrer, je sentais quelque chose de froid et de très ancien. Mes sens était en alerte, comme si j'étais entrain de me battre. Pourtant inconsciemment, je m'y était rapproché. Je fini pas me trouver a l'intérieur, plus je m'enfonçais a l'intérieur, plus la lumière du soleil disparaissait. Puis des torches se sont enflammé, elles se trouvaient accroché au parois de la grotte comme pour m'indiquer la direction. Après avoir marché dans un couloir étroit, je me suis retrouver dans une salle aménagé. Il y avait un lit et un bureau ainsi que plein de bouquins posé sur une table au centre de la salle. Une femme se trouvait debout dos a moi, j'avais du mal a apercevoir se qu'elle portait.

—Prince Aratus, ont vous attendez; me dit-elle d'une voie retentissante.

—Vous m'attendiez? Qui êtes vous? je sentais comme un air frais passé dans mon dos, cela ne me rassuré guère.

—Vous êtes venue chercher des réponses a vos questions, je suis ici pour vous les donner.

J'hésitais a lui demander par rapport a mon rêve, mais finalement je préférais savoir si se n'étais qu'un simple rêve, ou une vérité. Car il est vrais que certain de mes rêve son spéciaux, mais ils peuvent s'avèrent important, parfois notre inconscient essaye de nous prévenir de certaines chose.

—J'ai fais un rêve, pendent mon sommeil après mon accident, ou j'y avais vue m'a mère. Elle m'a informé qu'elle était morte par la faute de mon père.

—Et vous voulez connaitre sa signification, et bien ce rêve n'est autre qu'une vision du passé que les dieux vous ont montrer. Beaucoup de Stellis subissent des rêves qu'ils ne voudraient pas voir, mais certain dieux pensent que vous devez connaitre certaines chose.

—Je ne suis pas un Stellis, je suis le Prince. Et comment cela? Que devrais-je savoir? Pouvez vous me donner plus de détails.

—Seul, celui du passé pourra vous donner la réponse a cette information. Cela aura un impact sur vous. Prince Aratus vous ne pouvez le croire, mais chercher au plus profond de vous et vous verrez que vous êtes bien plus que ce que vous pensez.

Je ne comprenais pas le sens des ses phrases, elle les formulé du manière étrange, je ne pouvais continuer a lui demander a être plus précis. Mon intuitions me disais que j'en saurais pas plus pour l'instant concernant se rêve. Et que voulait-elle dire que je suis bien plus de se que je pense? J'ai décidé de lui poser une une dernier question, celui de l'identité du conspirateur.

—Qui est l'auteur des attaques, risquant de causer d'innombrable tristesse?

—Votre coupable n'est autre que l'homme qui a trouver la mère dont il en était amoureux. Celui qui cherche le pardon par la vengeance. Il est devant vous mais pourtant vous ne pouvez le voir, comme une ombre se faufilent a travers vous.

—Je ne comprend pas, pouvez vous m'en dire plus?

—Je ne serais vous apprendre se que vous connaissez déjà. Mais je peux vous donnez un fragment d'un avenir possible d'Océanus.

Elle a fait un volt face et a tendu sa main vers ma direction. D'un seul coup j'ai senti toutes mes émotions se bousculé, la salle ou je me trouvais fondait comme glace au soleil. Je me trouvais au dessus d'un château, je le reconnaissais! Il s'agissait de l'ancien fief de notre famille celui se trouvant dans l'ancienne capitale, Aestorm. Il a était fondé il y a de cela plusieurs siècles par le fondateur de ma famille, sur une petite ile volcanique situé au large des cotes de la cité Aestorm. Trois immenses aigle survoler la petite île ou se trouvé le château, et de l'autre coté, là ou il n'y avais que l'horizon je vis une immense flotte militaire arborant nos armoiries s'éloigné. Les images changé, je vis d'innombrable soldats sur un futur champ de bataille et ensuite se champs de bataille s'est changé en champ de mort, avec des bannière déchiré, mise a part une seul qui surplombé ce cimetière, il s'agissait des armoiries de ma famille. La vision a de nouveau changé, ont était a la capitale. Tous le peuple acclamé l'empereur, je n'ai pas réussi a voir son visage étant masqué par une ombre, est d'un seul coup tous a était accéléré. Je me voyais entrain d'appeler les gardes soutenant une personne sur mes genoux, ensuite je voyais des explosions et de nombreuse batailles puis des chasseurs tirant sur des ennemis et cela se fini ou je vis le trône de mon père vide. Ma vision s'était arrêté, je suis tombé a genoux comme si ma force m'avait lâché. Quand j'ai regardé autour de moi la jeune femme n'était plus là. Je me suis demandé se qu'elle m'avait fait, il y avait maintenant plus de questions que j'en avais avant d'arrivé, je devais retourner a l'extérieur de la grotte afin de demander des explication a l'intendante. Et en me dirigeant vers la sortie j'entendis la voie de cette femme.

—L'enfant de l'océan montera au sommet, tel est son destin. Il apportera carnage et chaos, et la fin lui offrira la sérénité tant cherché.
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Message par Chokev Sam 14 Avr - 16:35

Chapitre 18: Les Origines d'une Dynastie

Mon esprit était en proie a devenir le chaos, cette femme était étrange. J'étais sensé avoir des réponses, mais j'ai eu beaucoup plus de question en ressortant de la grotte. Une fois dehors j'étais encore un peux secouer par se qu'elle m'avait montré.

—Excellence? Vous allez bien? me demanda Zéno.

—Euh... je regardais autour, Léna et Zéno était présent, il y avait également cette intendante. Derrière je voyais les vagues de l'océan, le bruit m'apaisait me permettant de remettre petit a petit mes idée claire. Euh... Oui, je vais bien. leur ais-je dit.

—Qu'avez vous vue votre majesté? continua Zéno.

—Des choses, des évenements; ais-je dit.

—L'oracle vous a montrer se que vous devez voir, cela peux être une experience difficile, mais vous arriverez a mettre votre esprit en place.

—Et bien...bizzarement, après qu'elle met montré certaine chose. Je me sentais affaiblie mais depuis que je suis ici devant vous je me sens comme revigoré. Ont dirait que quelque chose, une sorte d'énergie et entré en mois. Je ne serais le décrire.

Léna et Zéno m'ont regardé d'un air intrigué, il ne comprenait pas se que je leur disais.

—Comment cela Aratus? Tu ressent quelque chose? me demanda Léna.

—Avant d'entrer dans cette grotte, je ressentais quelque chose de froid et de très ancien, puis là je ressent quelque chose de chalereux.

—Cela est due a vos véritable origine excellence, annonce intendante.

Je me suis mise a la regardé, j'avais du mal a savoir se qu'elle voulais dire exactement. Léna et Zéno était également troublé parce qu'elle venait de dire.

—Approchez, majesté. Dite moi se que vous ressentez; l'intendante me fait un geste d'approché, que j'exécuta.

Je me suis rapproché d'elle et je sentais une énergie qui rentrer a l'intérieur de mon corps. Mais ce que je ressentais m'étais familier, je l'avais déjà senti lorsque mon père m'avais amenez dans notre ancien fief. Zéno a voulu se rapproché mais l'intendante lui a fait signe de ne rien faire. J'ai tourné mon regard en direction de l'horizon, observant les vague se former, et j'ai fermer les yeux écoutant le bruit de l'océan. Cela me produisait un effet de bien être, comme si une force invisible m'offrait de la force, de l'énergie et j'avais l'impression qu'elle me protégé.

—Prince Aratus, sentez vous cela? Sentez vous comme une force parcourir votre corps? me demanda l'intendante.

—Oui, je la ressent, je l'ais déjà sentis il y a a de cela 13 ans.

—Votre père là senti pendent des années, comme il continue de le sentir aujourd'hui. Il vous a laisser trop longtemps dans l'ignorance de vos racine.

Que voulait elle dire par là? Mon père sentirais se que je ressent actuellement, et de qu'elle ignorance parler elle? J'était toujours a côté de l'intendante, les yeux fermer ne pensent a rien d'autre.

—Qu'essayez vous de dire madame? demande Léna en regardant Zéno qui avait garder une posture défensif prêt a me défendre en cas de problème.

Je ouvert les yeux et je me suis tourner vers mes amis. Toujours en restant au côté de l'intendante.

—Bien des génération avant nous, bien avant l'apparition des sept nations. Ce monde n'était que chaos, carnage et guerre. Mais un jour, un Stellis décida de mettre a terme se cycle sans fin. Il réuni tous les Stellis de chaque camps pour fondé un Empire qui garantirais la stabilité sur Océanus. De tout part de nombreux peuples nomade le rejoignait, afin d'être sous sa protection. Le premier Empereur Valérius s'était lui. L'ancêtre de tous ceux qui ont suivi, le votre aussi Aratus; nous disais l'intendante.

—Si je comprendre bien, vous dites que le fondateur de ma famille était un Stellis?

—En effet excellence, il était sous la protection du dieu des oceans.

—Donc, vous pensez que je suis également comme vous; lui ai-je dit.

—Etes vous entrain de dire que notre Prince est comme vous? demanda Léna

—Non, il est bien plus que cela. La dynastie du Prince est très ancienne, remontant au début de notre existence. Ils sont les premier a avoir reçus des capacité divine que les dieux ont offert.

—Etes vous entrain de dire, que je dispose de certaine capacité? ai-je demandé a l'intendante.

—En effet, vous avez étais ceux qui devais nous guidais. En formant un empire qui propagerais la paix et la stabilité sur Océanus. Du fait de votre importance vous disposer de grand pouvoir, comme votre père et son père avant lui. Votre père se trouve sous la bénédiction du dieu de la guerre et votre mère sur celui du ciel.

—Vous êtes entrain de dire que mes parent sont des Stellis? J'ai du mal a vous croire, je le serais sinon. Et mon père m'en aurais parlé.

—Votre père vous l'a caché. Ne vous êtes jamais demandé pourquoi il vous a offert cette arme que nous Stellis manions.

—Cela est un cadeau, il me l'a offert il y a longtemp; lui ai-je dit

—Je me souviens encore quand il est venu nous demander de la fabriqué. Vous n'aviez que 4 ans, et quand ont vous a vue ont a senti quelque chose de puissant. Et vous voila maintenant, adulte et vous je suis certain que vous là manier correctement, n'est ce pas? me demanda l'intendante.

—Oui. Quand je m'en sert, j'ai l'impression que c'est comme ci elle faisait parti de moi. Il y longtemps quand mon père m'a appris a la manier, j'ai réussir a faire face au entraineur et le désarmé. Mais cela avec beaucoup d'entrainement.

—Artatus. Zéno s'est rapproché de moi, et ma regarder droit dans les yeux. Cet arme que vous portez, seul des Stellis savent la manier. Aucune autre personnes ne le peux, comme ils sont les seul a savoir les fabriquer.

—Zéno, tu ne va pas croire cela? Je suis sur que tu peux la manier.

L'intendante m'a regardé, comme si se que je venais de dire n'avais aucune logique, quand a Léna... elle continuais de me regarder.

—Non excellence, je ne pourrais car je ne suis pas un Stellis.

—En faite...Aratus, je pense que Zéno a raison. Les dieux nous observe depuis toujours, et je pense que cette épée représente ton identité sur qui tu es. Car quand je te vois combattre avec, j'ai...j'ai l'impression que tu es protégé par quelque chose. C'est se que je ressens a chaque fois.

—Léna, se n'est qu'une arme, rien de plus; lui ai-je dit d'une voie calme.

—C'est plus que cela, depuis que ton père ta donner cette épée tu là toujours eu sur toi...Je pense que tu es lié et regarde autour de toi. Comment se fait-il que personne ne connaissait l'existence de se campement? Mise a part ton père, vue qu'il t'y a amener quand tu étais petit pour forger ton épée.

—Écoutaient les, vous êtes comme nous. Vos origines remonte a très loin, votre père a réussi a gagné la grande guerre grâce a ces capacité. Comme votre mère qui a réussi a repousser d'innombrable ennemi, pendent cette grande guerre vos parents était contre la majorité des pays qui existait. Sans leur côté divin, vous ne seriez pas là aujourd'hui.

— J'ai besoin de réfléchir, seul; leur ais-je dit.

— Je comprend excellence, vous devez assimilé. Mais soyez rassuré, nous ne savons pas encore qui est votre dieu protecteur mais nous le saurons bien assez tôt et vous serez le premier informé. Croyez moi.

Je ne savais plus quoi comprendre, j'avais besoin d'être seul un moment. Je me suis dirigé vers le campement, m'éloignent de la plage. Quand je suis arrivé jusqu'au champ de tir, j'ai observé les personnes s'entrainé. Zéno et Léna continuer de me suivre avec l'intendante, mais ils restaient éloigné de moi, afin de me laisser de l'espace. Pendent que j'essayais de comprendre se qui se produisais et d'assimilé se que l'ont m'avait dit, une petite fille s'est approché de moi. Elle devait avoir environ 7 ans.

—C'est vrais que vous êtes notre prince? me demanda-t-elle.

Elle était petite, avec des cheveux blond en queu de cheval. Son visage était couvert de tache de rousseur, elle me souriait et que bien entendu j'ai sourit a mon tour.

—Oui je suis bien votre prince, petite; lui disais-je d'une voie calme.

—C'est toi qui va nous proteger?

Pendent que nous discutions tous les deux, Zéno est Léna était entrain de discuté avec Ireno qu'ils avaient aperçue entrain de s'entrainer.

—Je ferais tous se que je peux pour cela. Ne t'inquiète pas.

La petite fille continuer de me regarder avec des yeux pétillant, puis elle ma s'est serré contre moi. Toutes ces personnes étaient étrange, et pourtant je sentais toujours quelque chose a l'intérieur de moi qui me disais que tous cela était bien réel. Que peux être j'étais bien se qu'il pensais que je sois, un Stellis sous la protection d'un dieu...
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Message par Chokev Dim 15 Avr - 17:16

Chapitre 19: Ont me désarme

Les campeurs étaient tous habillé de la même armure, ils me dévisageaient tous. Sans doute pour comprendre se que je faisais là. Cela resté tout de même étranges, ces personné se comporté différemment de nous. La plupart s'entrainé, d'autres s'amusé ou ils se détendent. J'ai même vue une personne faire poussé des plantes sur les mur d'un pavillons recouvert de fleurs, en agissant simplement sa main.

—Excellence, navré pour cela. Ont pas vue votre famille depuis très longtemps. Pour eux, votre présence est un honneur, quand ils ont appris que l'ont vous avez trouvé, ils étaient tous un peux excité de cette nouvelle; m'informe l'intendante.

—Cela n'est pas grave, je peux comprendre leur attitudes. Donc vous dites que je possède des capacité, êtes vous sur de cela? lui ais-je demandé.

—Il n'y a qu'une seul manière de le savoir altesse; me dit elle. Venez, nous allons répondre a cette question.

—Pas avez des phrases compliqué j'epsère; lui disais-je en plaisentent.

Elle m'a regarder d'un air calme, et a continuer a marché, nous expliquant que le campement a était fondé il y a de cela plusieurs génération. Et que depuis toujours, ils se battaient au côté de ma famille et que tous les ans des enfants possédant des capacité offerte pas les dieux, arrivé au campement accompagné par des Stellis. Nous avons appris que certains avait la capacité de manier les plante que j'ai vue toute a l'heure, d'autre était doué au combat. Plein de jeunes et confirmé ayant un pouvoir d'un des dieux du panthéon. Jusqu'au moment ou nous arrivons au a l'arène se trouvant non loin du sanctuaire.. Des jeune d'environ mon âge s'y trouver déjà entrain de s'entrainé.

—Bien, vous allez vous battre contre l'un d'eux.

Zéno était restait derrière moi a quelque mettre au côté de Léna. Ils ne disaient rien, préfèrent observé se qu'ils voient.

—Et pourquoi dois-je faire sa? Mais pensez vous qu'ils seront a la hauteur?; ais-je demandé d'un air sarcastique.

—Faite donc, puis nous verrons bien se qu'il en retournera, m'a-t-elle répondu.

Je me suis donc rapproché d'eux et les deux jeunes se sont retourné me faisant face. Ils portaient tous deux une armure identique, avec une cap de couleur rouge sang. Celui de gauche était petit et avez des cheveux court de couleur châtain, mais il était très musclé. Quand a l'autre il était plus grand avec les cheveux bouclé de couleur châtain et était également musclé, il avait une cicatrice sur son avant bras j'ai pue le remarqué car elle formé une forme bien droite.

—Excellence, êtes vous venue vous mesuré a nous? me demande le plus grand en me faisant un sourire.

— En effet, mais j'aime bien connaitre le nom de mes adversaire; lui ai-je répondu.

—Je suis Adelphe; me répond-il puis il fait un signe de la main en direction du plus petit. Et lui c'est Kleitos.

— Enchanté, et qui vais-je affronté?

— Nous deux excellence; me répondent-ils en même temps.

— Bien, sa serais un bonne entrainement; leur ais-je dit en rigolant.

J'ai active mon épée, puis j'ai commencé a me mettre en posture. Les deux jeunes ont sorti leur épée qui étaient accroché a leur ceinture et ils ont également pris posture. Kleitos a commencé l'offensif, j'ai réussi a dévier sa lame et le repousser légèrement. Il a essayé de me porter un coup sur le bas de ma jambe gauche mais j'ai de nouveau esquivé, quand Adelphe est arrivé a la charge. J'ai jouer sur la défensif pendent de longue minutes, il était très doué. J'avais du mal, quand je me dégagé d'Aldelphe, Kleitos arrivé de suite sur moi. Puis jusqu'au moment ou tous deux ont chargé et nos trois lame se son entrechoqué, quand j'ai regardé rapidement du côté de mes compagnon j'ai vue Zéno qui était agité. Je pense qu'il avait du mal a me voir combattre en pensent que un accident pourrais arrivé, et c'est se qui se produit quand Kleitos me frappe sur le ventre et me pousse. A peine être tombé a terre que Zéno était sur le point d'activé sa lance, je lui fait signe de la main pour ne pas intervenir quand au dernier moment je vois que Kleitos a baissé sa garde j'ai fait un geste rapide avec mon épée et je l'ai fait tombé. Je me suis immédiatement relever et j'ai mis mon épée devant sa gorge quand Adelphe et arrivé par derrière et que par instinct j'ai sorti avec ma deuxième main mon arme digital en le pointant sur lui. Il s'est immédiatement stopper puis nous nous sommes regardé droit dans les yeux.

— Bon reflex, s'était...constructif; me dit Kleitos qui a décaler mon arme pour pouvoir se relever.

— En effet s'était génial, il faudra que l'ont se remette sa; me déclare Adelphe.

— Merci, puis vous n'avez pas était simple a vaincre. Pendent un instant j'ai bien crue que vous allier gagner, leur ais-je dit.

L'intendante s'est rapproché de moi accompagné de mes amis.

— Impressionnant votre altesse, me dit-elle. Vous rendez vous compte que vous avez vaincu deux Stellis sous la protection du dieu de la guerre. Il est très dur de les avoir dans leur propre jeu.

— Mon père me donnait des entrainement intensif; lui ai-je rétorqué.

— Non, certain de vos reflex et mouvement sont plus que d'avoir était entrainé. Bien continuons, vous allez passé a d'autre test.

Nous sommes aller dans l'atelier, là ou il fabrique les armes et j'ai constaté que je n'étais pas doué, ensuite il y avait de la lutte comme pour le combat a l'épée je m'en sortait plutôt bien. Nous avons continuer a faire des tests toute la journée et ensuite nous sommes allé en direction du lac et je devais prendre un petit bateau a voile et faire le tour du lac puis revenir. J'en avais jamais fait, comme je ne suis jamais monté dans un navire, mais se qui a était étrange s'étais que je m'en sortait très bien. J'avais l'impression que j'en avais toujours fait et parfois cela peux paraitre ridicule mais j'avais comme un sentiment de sérénité.

Ensuite nous avons continuer de nombreuse épreuve et l'un des jeune Stellis et venu me voir. Et a directement commencé a me critiqué. En me disant qu'il avait perdu ces parent pendent la grande guerre, et que s'étais de la faute de mon père. Il continué en disant que notre famille profité des gens pour s'enrichir et devenir plus puissant. J'ai essayer de me défendre mais rien, il était vraiment contrarié. Ensuite il a continué en disant que notre famille n'était pas digne d'être encore là et que jamais ont ne sera pardonné de nos actes. Je lui ais dit que je comprenais sa douleur du fait que la grand guerre j'avais perdu ma mère, qu'elle s'était battu pour nous. Au lieu de cela il m'a répondu que s'étais de notre faute si elle n'étais plus. Cela ma frappé dans mon coeur comment a-t-il pue oser dire cela? Léna ne savais pas quoi dire et quand a Zéno il a tenter de le calmer en lui rappellent a qui il parle mais cela n'a fait que empiré.

— C'est bon, s'en est fini pour aujourd'hui je n'ai pas le temps pour sa! Vous venez a moi en m''accablant tous vos malheur et vos souffrance! Croyez vous que c'est facile pour moi? Je subi des pression accru et la j'essaye d'évité une grave cire! Puisque c'est sa nous repartons; je me suis éloigné d'eux, mais Zéno m'a suivi.

—Excellence, attendez! me dit-il

—Laissez moi Zéno, allez préparer nos affaires. Nous partirons d'ici quelque heures.

—Pourquoi renoncez vous? Depuis que je suis avec vous, vous n'avez jamais baissé les bras.

—Je ne baisse pas les bras, depuis plusieurs jours, nous cherchons a stopper une guerre qui se mets en marche! Et avons nous avancé?; lui ais-je dit d'un ton sec.

Depuis le début, je pensais la fédération innoscente, mais si cela n'était pas le cas? Nous avons chercher depuis plusieurs jours et nous avons rien découvert mise a part une personnes qui manipules certain de nos hommes. Et maintenant me voici dans un campement, pensent que je suis comme eux et qu'ils mon fait passé des épreuve tous les jours sans aucun resultat. Et maintenant un des leur m'accuse de tous les malheurs, se que je n'ai pue supporté se fut surtout quand il s'en ais pris a ma mère cela était trop douloureux. Je me suis toujours sentit désarmé quand ont parler sur elle, comme si ont me frapper en plein cœur. Trop de chose était présent dans ma tête, je voulais que tous cela s'arrête. Je me suis assis a terre contre un des arbre et je me suis mis a regarder l'horizon. Zéno quand a lui c'est assis a côté de moi.

—Que c'est il produit depuis votre sortie de cette grotte? me demanda-t-il.

—Non, rien... C'est idiot. Je me suis trompé sur tous. Je pensais pouvoir garder la paix, mais toute les décisions que j'ai prise quand j'ai remplacer mon père, était mauvaise.

—Vous êtes dur envers vous même.

—Nous nous trouvons ici, a chercher une illusion, la paix n'est qu'éphémère. Le discernement m'a fait défaut. J'aurais du êtres un hommes d'état, comme m'ont père le voulait. Cette intendante a tort, il n'y a rien de particulier en mois. Je suis quelqu'un d'ordinaire.

—Non Aratus, vous êtes digne d'être notre prince, et un jour vous serrez notre empereur.

—L'épée et mon seul talent, c'est tous.

—Votre peuple a confiance en vous, comme ces personnes dans se campement.

—Mon peuple connaitra la mort et la tristesse, l'oracle me l'a montré.

—Non,la vision que cette personne vous a montré n'était qu'une illusion car vous nous protégerais, et se jeune Stellis a eu tort de vous parlez ainsi, il n'aurait pas du s'en prendre a vous de la sorte. De se que j'ai vue et de se que Léna m'a dit vous avez toujours était un fervent défenseur de la paix et de la justice. Vous arriverez a surmonté cela avec votre peuple a vos côté.

—Si se que tu dit est vrai, ils vont devoir se trouver un nouvel héritier; je me suis levé m'éloignant de Zéno.

—Aratus...Aratus!

Je faisais le sourd, continuant a marché a travers la lumière sous le soleil. Je me suis dirigeait vers la plage afin de mieux réfléchir, j'étais perdu. Beaucoup attendez de moi, et certain voulais nous voir disparaitre en nous accusant de tous les mots, j'étais épuiser, je n'avancer pas. Rien de se que je faisais aller préserver se que nous avions.
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Message par Chokev Lun 16 Avr - 16:23

Chapitre 20: Une hostilité en avance

A plusieurs kilomètres du campement, a Aquilae dans les sous sol du palais les soldats sont en pleine agitation ayant les alarmes activé.

—Que se passe-t-il?! demanda la commandant.

—Madame! Nous venons de détecter une explosion dans la cité Erini.

—Cette cité se trouve proche de nos frontière, je veux des images sur la situation! Je veux savoir se qui se passe! ordonne-elle a l'un des soldats se trouvant devant les écrans.

Tous le mondes dans le quartier général de la défense se trouvant dans les sous sol du palais cherchaient des réponses a se qui venais de se produire. Une fois les satellites calibré ils commençaient a avoir des images. Ils ont tous était pris de court, la fédération venais de lancé une attaque contre eux. Cela était certain, les satellites avaient détecté que les tires ont était fait depuis les territoires d'Aelor. La commandant a demander a avoir des informations sur les actions de la fédération et en observant, ils découvrent que des forces militaires se dirigent droit vers la cité. S'étais le début de la guerre.

—C'est impossible, ils ne devaient rien faire contre nous avant plusieurs jours.

—Quel sont les ordres commandant? demanda le capitaine qui venais d'arrivé en trombe.

—Ont passe en alerte maximum! Je veux que tous nos chasseurs dans se secteur se prépare immédiatement a décoller! Que l'ont prévient les bases militaire de la zone de se rendre a Erini! Nous ne laisserons pas l'ennemi prendre la cité, qu'ont prépare également une évacuation de toute la cité; ordonna la commandant.

—Bien madame! ont-ils dit.

La commandant se dirigait vers la sortie quand le capitaine l'interpelle.

—Commandant, ou allez vous? Ont a besoin de vous!

—Je dois prévenir le conseillé de la défense que nous sommes a présent en guerre.

Après avoir remonté les étages, la commandant se trouvais dans le bureau du conseillé de la défense. Sont bureau se trouvais au 79ème étages. Quand la commandant est entrée, ont y voyais un simple bureau dos a la baie vitrée. Les couleurs était sombre, avec des mobilié en bois massif restant dans le thème. Ont pouvais apercevoir beaucoup de dossier sur le bureau, le conseillé avez beaucoup de travail avec l'état actuel de l'Empire.

—Monsieur, pardonnez mon interruption, mais l'état et critique.

—Qui a-t-il commandant?

—La Fédération vient de lancé une offensive sur la cité d'Erini.

—Comment? Je pensais qu'ils nous laissais du temps pour prouver notre innocence; dit-il d'un air surpris.

—Et bien, je pense qu'ils devaient en avoir assez d'attendre.

—Quel dégâts ont était fait sur la cité?

—Nous n'en sommes pas sur, mais il semblerait que l'agora a était la cible. Ont déplore beaucoup de morts, et de blessé, nous n'avons pas encore les chiffres, disait la commandant au conseillé et elle a continué. J'ai donné l'ordre a tous nos chasseurs du secteur de décoller, ainsi que a tout les base de se préparer a se rendre dans la cité afin de la défendre. Quand au citoyens, j'ai demandé de les faire évacuer.

Le conseillé de la défense s'est levé de son bureaux et se diriger vers la sortie.

—Commandant, rester sur vos position n'engager par le feu su l'ennemi de suite. Je vais prévenir l'Empereur, et nous allons préparer un conseil de guerre afin de réfléchir a une stratégie.

—Bien monsieur.

Pendent que la commandant retourner au quartier de la défense, le conseillé quand a lui a monter les étages du palais afin de prévenir l'Empereur de la situation. La paix venais de prendre fin, s'était le début d'une période sombre. La Fédération d'Aelor venait d'engager les hostilités contre l'empire d'Aquilae, il fallait a tous pris riposter.

Une fois que l'Empereur a était avertit de la nouvelle, il avait ordonné de fermer les frontières, ainsi que de préparer toutes les forces au combat. L'Empereur, lui qui avait mis en place se système de sept nations afin de créer une paix durable, était entrain d'assister a la fin de se qu'il avait construit. Il devait a présent reprendre les armes pour défendre son peuple.
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Message par Chokev Mar 17 Avr - 16:24

Chapitre 21: La vérité sur mon rêve

J'étais resté plusieurs longue minute quand Léna est arrivé derrière moi, portant dans ses bras des vêtement avec une cuirasse. Elle me l'à tendu en me souriant.

—Tien, un Stellis l'à fabriqué pour toi.

—Qu'es ce donc? lui ai-je demandé.

—C'est l'armure qu'ils portent tous ici, en plus je suis sur que s'a tirais bien; elle m'a regarder avec des yeux brillant, je sentais qu'elle voulais me dire quelque chose.

—C'est très généreux de leurs part; je l'ai remercieraient, lui ais-je informé.

—Ce soir pendent le repas en ton honneur, et enfile la tenu. Sa leur fera plaisir.

—Très bien, je l'a porterais, d'ailleurs je tenais a m'excuser pour toute a l'heure; ais-je dit d'une voie basse.

—Aratus, sa arrive de se sentir démunie, mais je suis sur que tu a de grande capacité. Puis crois moi, je suis sur que tu réussira a trouver en toi la force pour ne pas te laisser influencer par ce qu'il t'a dit, elle me fixait droit dans les yeux et avait posé sa main droite sur mon épaule.

—Je te remercie Léna, mais je ne compte pas... je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase qu'elle a reprit la parole en mettant sa main sur ma bouche.

—Non Aratus! Zéno m'a dit que tu ne voulais plus être notre prince. Mais sa ne fonctionne pas comme sa, tu le sais très bien. Ont a tous des moments difficile, il faut savoir les surmontés. Je sais que tu n'aime pas que l'ont te compare a ton père, mais écoute moi. Si ton père avait abandonné pendent la grande guerre, crois tu que la paix actuel existerais? Si tu ne fais pas sa pour toi, fais le pour ton peuple.

—Léna....

—J'espère que tu aura changé d'avis se soir pendent le repas; me dit elle en s'éloignant de moi afin de rejoindre des personnes du camp.

Pendent longtemps ont m'avais dit, Aratus fait pas si, Aratus fait pas sa. Aujourd'hui j'étais un prince perdu dans ces pensés, je ne savais plus quoi faire. Et avec ce conflit qui approché, je ne pensais pas être a la hauteur. Mais j'ai décidé de prendre sur moi, et j'ai commencé a enfiler la cuirasse que l'ont avait fait pour moi et accroché la cape, elle était de couleur bleu océan, c'est une couleur que j'appréciais, sa me changé de mes couleurs sombre. La journée continuer de passé et le soleil descendais du ciel, des jeunes Stellis de mon age mon accompagné en direction du bâtiment ou ils prenaient le repas. Il y avait tant de monde, quand je suis rentré ils étaient tous entrain de discuter, certain rigolé. Quand l'intendante m'a vue, elle m'a fait signe de venir m'assoir sur la grande table qui était face a toute les autres tables. Je me suis retrouvé assis entre Léna et Zéno.

Nous discutions de tous est de rien, Zéno m'a complimenté sur la tenu que j'ai porté et Léna ma remercier d'avoir mis l'armure qu'ils ont fait pour moi.

—Je dois vous dire quelque chose...j'ai tourner mon regard vers l'intendante afin de lui montrer que je lui parlé.

—Je vous écoutes excellence, m'a-t-elle répondu.

—Quand j'étais encore inconscient, j'ai fais un rêve étrange...et je me disais que vous pourriez m'aider a éclaircir certaine chose.

—Dite moi se que vous avez vue, en espèrent pouvoir vous aidez.

—Lorsque que ma mère a était tuer lors d'une attaque sur son camp, comment a réagit mon père?

L'intendante était surpris de ma question, elle avait dévié le regard vers un des instructeurs avant de le reposer sur moi.

—Et bien...votre père, était désemparé. Quand votre mère l'avait avertie que des soldats approché et qu'elle lui avait demandé du renfort, votre père a tous de suite lancer le bataillon le plus proche, me dit-elle d'un ton hésitant.

—Je pensais que aucun bataillons n'étais arrivé.

—En faite si, un bataillon est bien arrivé sur place, mais...trop tard. Quand votre père a sue la mauvaise nouvelle, il a ordonné a se que les coupable sois tous de suite retrouvé.

—Les a-t-il retrouvé? lui ais-je demandé.

—Malheureusement pour c'est soldats, oui.

—Que c'est-il passé ensuite? Dite le moi.

—Votre père, l'Empereur les a tous fais masacré. Jusqu'au dernier.

Je n'en revenais pas, mon père s'était vengé de la mort de ma mère. Moi qui crue a un rêve au lieu mon père, même si ce rêve était très réaliste. Il a due être dans une rage folle pour faire cela, moi même je ne serais comment je réagirais. Mon père ne m'avait jamais vraiment parler de ma mère, il préférait éviter le sujet. Il trouvait sans doute c'est souvenirs trop douloureux, même si j'aurais aimé le savoir.

Et maintenant, c'est a mon tour de prendre sur moi, je dois repartir a la capitale. J'ai assez cherché une personne caché dans l'ombre, il était temps que je me comporte comme le veux mon rang. Puis que je commence a apprendre de gouverner, mon père avait raison sur un points. Je ne peux me permettre de partir sur un coup de tête pour une simple aventure...

Après avoir fini le repas, nous avons remercier les Stellis de leur accueil et ils nous ont prêté une de leur navette pour rentrer a la capitale. Je leur ais dit qu'ils étaient les bienvenues a Aquilae, et l'intendante ma dit qu'elle serais honoré que je revienne. Sans doute pour m'apprendre a manier le dons que je possédais et devenir se que je suis depuis toujours. Elle m'a dit que je serais qui est mon dieu protecteur en temps voulu, donc je n'avais plus que a attendre. Une fois que nous avons décollé, nous avons entendu des bruits venant de la radio, ont n'entendais pas réellement se que sa disait. J'ai alors cherché la fréquence puis d'un seul coup le sons est devenue claire.

Message de l'empereur:

"Nous venons d'apprendre depuis peux, que la Fédération d'Aelor avait lancé une attaque sur la cité d'Erini. J'ai chargé le général de prendre le commandement des troupes envoyé en direction d'Erini. Vous devez vous demandez quel sont leurs attentions. Cela n'est pas important. Se qui est important, tous se qui compte c'est que en se moment même, nous sommes en guerre. Sachez que je mettrais tous en œuvre pour assurer votre protection, l'ennemis ne gagnera pas."

Ont s'est tous les trois regardé, cela était improbable. Comment la fédération a-t-elle pue osé nous attaquais alors qu'ils nous restais encore un peux de temps. Mais si il est vrais que nous avions aucune preuve, nous aurions pue continuer a nous préparer, voir trouver un terrain d'entente. Mais le président d'Aelor en avait décidé autrement...

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Message par Chokev Mer 18 Avr - 19:03

Chapitre 22: Une trahison inattendue

Mon père avez repris ces fonction, puis par la même occasion il m'avait remercié de m'être occupé de l'Empire pendent sa convalescence en m'éloignant des affaires actuel...Je m'étais sentis rejeté, mon père faisait comme si je n'avais rien fait alors que s'était grâce a moi que la paix était maintenue un peux plus longtemps. J'avais donc décidé de désobéir a mon père en quittant le palais avec l'aide de Léna et Zéno, afin de trouver le véritable coupable. Après plusieurs jours en dehors de la capital nous n'avons rien trouver de concret, mise a part qu'il y avait bien une personne derrière tous cela. Nous avions également fait la connaissance des Stellis, qui sont des êtres doté de pouvoir divin, et d'ancien guerriers. Je suis l'un d'entre eux, comme toutes ma famille. A présent j'avais décidé qu'il était temps pour nous de rentrer a Aquilae, mais nous avons appris pendent notre retour que la fédération avez enclenché les hostilités.

Plusieurs heures sont passé, et nous sommes arrivé a Aquilae. Nous avons commencé a rentrer dans le hangar du palais et ont s'est directement dirigé dans le bureau de mon père. Quand nous sommes arrivé, il était avec le conseillé a la défense a ces côtés. Ils discutaient des stratégies a abordé contre la Fédération d'Aelor se qui annoncer que mon père n'avais pas encore lancer d'offensive et qu'il souhaitait sans aucun doute porter un grand coup.

—Père!

J'étais essoufflé, quand je tourne la tête en direction de Léna je voyais également qu'elle était...Je prend une grande respiration puis je lui dit:

—N'engagez par le conflit tant qu'il en est encore temps, essayons de parlementé avec eux.

Mon père c'est tourné vers moi d'un air étonné, il portait une chemise noir ainsi qu'une veste légère de couleur noir, en référence au jours sombre avenir...Ces cheveux gris était en bataille, des cerne profond autour de ces yeux. Tous nous disais qu'il n'avait pas dormis, préfèrent préparer la contre-attaque.

—Aratus, se n'est pas le moment pour tes théories! Nous sommes en pleine préparatifs.

J'étais stupéfait par sa réaction, j'avais l'impression qu'il me prenais encore pour un enfant.

—Père, je vous en pris écouter moi, la guerre peux encore être évité.

Léna était toujours a côté de moi, elle ne disait rien, comme si elle attendait que mon père lui autoriser a parler.

—Aratus...Je t'accord cinq minutes.

Cinq minutes? Sérieusement, je me demandais si il me prenait réellement pour son fils. J'avais l'impression qu'il me traitait comme un de ces conseillés...

—Père, depuis le début nous accusions le président de la Fédération d'Aelor de cet acte. Hors je peux vous certifiez qu'il n'a rien a voir dans cette affaire, c'est également une victime.

Mon père me regardait comme si je venais de lui sortir une farce de mauvais gout, mais je continuer mes explications.

—Cette...cette personne qui a commis ces attaques avait une idée bien en tête. Ne voyez vous donc pas se qu'il se produit actuellement? La guerre est a notre porte après des années de paix. Cette personne a cherché a vous montez contre la Fédération d'Aelor, et inversement. Notre Empire et la Fédération ne se sont jamais entendu, et nous sommes avec eux les plus grandes puissance qui peuvent conduire le monde en guerre. Je reprend une grande inspiration puis je continue sur ma lancé. Cette personne a pue accéder au Palais sans se faire remarquer, donc elle devait avoir un complice a l'intérieur, mais j'ai découvert que la personne qui a commis l'attentats n'était qu'un pion. Le véritable investigateur est une personne très haut placé pour pouvoir passé nos sécurité sans que personne ne le sache.

Mon père ma regardais comme si je venais de faire une bêtise, puis il se rapproche de moi et pose sa main sur mon épaule.

—Fils, te rentu compte de se que tu dis? Tu accuse un membre du Haut Conseil Impérial de trahison.

—Je ne dit pas forcement que c'est un membre du Haut Conseil, mais il y a de forte chance.

—Aratus, je pense que tu vois le mal partout, je sais que c'est la premier fois que tu vois une complication de cette envergure. Tu n'aurais pas due prendre ma place pendent mon rétablissement, tu n'étais pas prêt.

Soudain un crépitement se fait entendre, quand je regarde derrière mon père, je vois Zéno qui avait activé sa lance puis s'est attaqué a mon père. Je l'ais poussé sur le côté puis j'ai dégainé mon épée afin de bloquer son attaque.

—Zeno, arrête! Que-ce qu'il te prend?!Avec mon épée je l'ai repoussé violemment et s'est retrouvé a terre.

Le conseillé se met a applaudir en nous regardant, laissant paraitre un sourire au coin.

—Bravo, bravo Aratus...

Mon père s'est relevé stupéfait de se qu'il venait de voir.

—Aevris! Mon père lance un regard sévère envers le conseillé puis continue. Pourrais-je avoir des explications!

—Bien entendu Empereur, je vais vous éclaircir la situation. A travers le monde votre famille est vue comme une entité, un artefact. Vous n'êtes plus craint et admiré comme vos pères d'autrefois. Il est temps qu'une nouvelle génération vous remplaces! Avec un vrais chef au pouvoir, qui sera se faire craindre par les autre nations. Aquilae connaitra un nouvelle age d'or! Ainsi je vengerais les morts que nous avons subi pendent la Grande Guerre.

J'observe Zeno entrain de se relevé et se mettre face a moi. Et quand j'ai entendu la dernière phrase du conseillé de la défense cela m'a rappelé quelque chose que l'oracle avait dit. Donc, cela voudrais dire que le conseillé avez perdu un être cher pendent la guerre, une personne qu'il n'a pue protéger.

—Zéno! a dit Avris d'un ton sec. L'heure est venue de prouver ta loyauté. Tue-le, et tu recevra des récompense dépassant tous se que tu peux imaginé, sinon tu s'es se qui se passera.

Zéno ma fixé du regard et j'ai eu la certitude qu'il allait me tuer, je le voyais dans ses yeux. Mais je voyais aussi des doutes.

—Observe autour de toi Zeno, ai-je dit. La guerre a nos portes. Est-ce la que tu veux temps?

Il continuer a me fixer pendent que Aevris attendait qu'il me tue.

—Il a menaçait de s'en prendre a ma famille si je ne l'aidais pas. Je n'ai pas le choix, a marmonné Zéno.

—C'est exact! Tu n'a pas le choix Zéno. Aevris a tenté de se rapproché quand Léna est apparue derrière lui et placé son poignard sous sa gorge. Frappe-les!

—Tu m'a dit que tu étais fier d'être rentré dans la garde, lui ai-je rappelé. Le peuple mérite notre protection Zeno, mais cela n'est en rien de la protection, c'est le chaos. La destruction de temps d'année d'acharnement pour préserver la paix. Aevris n'est pas entrain d'assurer la prospérité, mais la fin de toute une civilisation voir une nouvelle Grande Guerre. Et ta famille ne sera en aucun cas en sécurité, ne fait pas quelque chose que tu regrettera.

Zéno a tourné le regard sur l'Empereur puis en direction des vitres, ont apercevais les montagnes au loin et Zéno s'est mis a sourire comme si il se remplissait de nostalgie, du désir de voir une simple journée calme, d'être n'importe ou sauf là. Et il s'est mis a attaque, mais pas moi.

Profitant que Aevris sois soumis a Léna, Zéno a taillé avec sa lance le torse du conseillé a la défense. Sa aurait du le tuer, mais la lame a était dévier par un champ magnétique et tomba a terre, du fait que Aevris portait un bouclier personnel.

—Trahison! a dit Aevris, il a donné un coup de coude a Léna afin de se dégager et il a récupéré la lance de Zéno et lui transperce dans l'épaule. Zéno est tombé a terre agonisant voyant son sang s'écouler sur le sol.

—Ils ne méritent pas autant de souffrance, c'est grâce a eux que nous pouvons vivre ainsi; a-t-il articulé avec effort.

Aevris a retiré la lame de l'épaule de Zéno.

—Tu ne verra donc pas le nouveau monde que je construirais avec le peuple a mes côté.

Aevris tend son bras afin de donner un second coup a Zeno mais je me suis jeté sur le conseillé de la défense faisant entrechoqué les lames.

—Je ne te laisserais pas tuer mon ami, lui ai-je dit. Je l'ai repousé et j'ai frappé de nouveau, abbatant mon épée sur lui d'une telle violance que ma lame a fait surchaufé son bouclier personnel.

Aevris m'a repoussé violemment et je suis tombé a terre contre le bureau de mon père. Le conseillé a reculé et repris son souffle. Il a examiné les dégâts que j'ai fait sur son bouclier personnel, pendent que je me relevais avec effort pour avancer.

—Il est trop tard, Aratus Valérius, a-t-il dit alors. Observe donc.

Il a tendu son bras en direction de la vitre qui faisait apparaitre plusieurs écrans. Je voyais nos troupes s'avancer vers les forces armées de la Fédération d'Aelor qui se trouvais a nos frontières. Pendent se temps nos bases activé nos missiles, prêt a être lancé. La population d'Aquilae avez arrêter leur activité voyant le bouclier de la ville s'étendre au dessus de nous et nos tourelles de défense s'activé visant l'horizon, laissant retentir l'alarme.

Il était tellement absorbé par la bataille qui approché et la perspective de sa victoire finale, que je tentais de profiter de la situation pour le tuer. Mais comme si les Dieux avez entendu nos prière, nos missiles se sont désactivé et nos troupes se son stoppé, seul les boucliers restaient activé. Je me suis retourné et j'ai vue mon père devant son ordinateur, il venait de donner l'ordre d'annuler l'offensive aux généraux.

—Non! a crier Aevris après queqlues secondes d'un silence stupéfait. Non!

—C'est terminé Aevris, tu a perdu, dit mon père.

Je me suis reculer afin de me rapprocher de mon père quand Aevris c'est retourner.

—Sa ne sera jamais terminé, l'ennemi continuera d'avancer et vous serrez obligé de vous battre Empereur,dit-il d'un air de rage.

Je me suis retourné faisant dos a Aevris, pendent que je m'approché de mon père, il s'apprêtait a me transpercer. Et j'ai vue mon père faire apparaitre sont épée, en la de-miniaturisant, il s'est précipité sur moi pour me pousser violemment sur le côté afin de me protéger. Il a paré les attaques du conseillé, puis pendent quelques minutes je les voyaient avec difficulté se battre et ensuite mon père a prit l'avantage et la désarmé. Il lui a fait un croche pied, et Aevris est tombé a terre, mon père a pointé l'épée sur sa poitrine et j'ai sue se qu'il allait se produire.

—Plus jamais tu ne t'attaquera a mon fils, tu nous a trahis simplement pour te faire craindre et admirer...C'est pitoyable, dit-il a Aevris.

J'étais a terre et j'ai vue mon père planter la lame de son épée dans le torse du conseillé de la défense. Ensuite un silence et survenue, mon père a dégagé sa lame du corps d'Aevris et a reculé de quelques pas.

—Père? ai-je dit d'un aire inquiet.

J'ai pris les dernière forces qui me resté afin de rattraper mon père avant qu'il ne tombe par terre. Quand je l'ai mis sus mes genoux j'ai aperçue du sang sur son torse, j'étais désorienté et apeuré.

—Non, ai-je dit d'un voie faible. Garde! j'essayais de crier mais la tristesse m'empêché de sortir ma voie assez forte. Je vais chercher du secours; je m'apprêtais a me lever quand mon père me dit.

—Reste avec moi; d'une voie faible.

—Je suis là père. Je le regarde, retenant les larmes de mes yeux. Garde! j'arrivais enfin a expulser le son de ma bouche. A l'aide, que quelqu'un viennent.

—Il est l'heure que je parte.

—Non, vous n'allez pas mourir, ai-je dit, tous en essayant de me le convaincre.

—Je sais que tu me fera honneur, comme toujours. Tu sera un grand Empereur.

—Je ne suis pas encore prêt. J'étais perdu, j'avais l'impression que le temps ralentissais.

—Si, il y a déjà longtemps que tu es pret Aratus.

—Non, j'ai besoin de vous.

—Je sais que je n'ai pas était un bon père. J'ai fait passé mon devoir envers Aquilae, avant toute choses. Je t'en demande pardon.

—Ne dites pas sa.

—C'est vrais, mais sache le. Aratus, je t'ai toujours aimé, ma-t-il dit avant de perdre connaissance.

—Non père, je ne pouvais contenir ma tristesse et j'ai posé ma tête contre lui, laissant ma tristesse s'évacuer.

Les Gardes sont arrivaient, me voyant avec mon père inconscient sur mes genoux. Léna était a côté de moi rempli de tristesse, Zéno se trouvé toujours par terre blessé et agonisant. Quand a Aevris le conseillé a la défense, son corps inerte se trouvé non loin de moi....
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Message par Chokev Jeu 19 Avr - 18:29

Chapitre 23: J'accepte ma destinée

Le Haut Conseil Impérial avait donné des explications au Président de la Fédération d'Aelor, et ont tout essayé pour ramener la paix. Cela n'a rien empêché, le président ne voulais rien savoir. Bien au contraire, il avait une raison de nous attaquais, car s'était un acte de notre conseillé donc il a estimé que cela était de notre faute. Il nous a quand même accordé quelque jours de répit du fait de l'état de mon père, s'était plus qu'une question de temps avant qu'il envois des forces nous assiégés. Zéno quand a lui n'a pas était tenu pour responsable, je préférais dire qu'il a essayer de nous protégeais et dans un sens c'est se qu'il a fait. Il a était manipuler depuis le début par Aevris en le menaçant de s'en prendre a sa famille, et qu'il mérite une chance. Tous revenais presque a la normal, pendent que mon père était conduit en vitesse dans l'infirmerie du Palais se trouvant au 21ème étages. Je m'y suis rendu a son afin d'attendre qu'il se réveil, mais les médecins mon avoué qu'ils ne comprenaient pas, il aurait déjà du se réveiller après avoir reçus les traitements. Au bout de plusieurs heure je me suis endormie sur la chaise se trouvant a côté du lit de mon père, quand j'ai entendu un bruit qui m'a réveillé. S'était un infirmier qui était entrain de lui donné un traitement.

—Que faite vous? lui ais-je dit.

—Excellence veuillez me pardonner, je lui fournis un dernier traitement que nous n'avons pas encore essayer, afin de le faire revenir a nous.

—Pensez vous que cela fonctionnera? ais-je dit.

—Je ne sais pas, mais c'est notre dernière chance.

L'infirmier avec un regard apaisant, il m'a regardé juste une fraction de secondes avant d'injecter le traitement. A peine l'avoir injecter que mon père ouvre les yeux et reprend connaissance en inspirant.

—Père? Père? J'étais abasourdi et heureux, se remède venais de me rendre mon père, j'avais l'impression que les dieux avaient entendu mes prières.

—Aratus..dit-il d'une voie faible. Il lève légèrement sa tête en la tournant dans ma direction, il me souriait. Puis d'un seul coup il commence a voir du mal a respirer.

Je perdais mon sourire puis je regard l'infirmier en lui disant:

—Que se passe-t-il?

—Je ne sais pas, dit l'infirmier inquiet.

Pendent que mon père lutter pour respirer l'infirmier n'agissait pas, préfèrent le regarder souffrir au lieu d'essayer de le sauver puis viens le moment ou l'Empereur lâche son dernier souffle. L'infirmier c'est alors approché et a vérifié son pouls.

—Il est mort, je suis navré excellence, me dit-il

—Non, se n'est pas possible, père, revenais! Je me relève remplis de colère mélangé a de la tristesse puis je regarde l'infirmier. Qu'avez vous fait?

—Se qui est arrivé est impossible, dit-il d'un air choqué.

—Vous etiez senser le guérir, vous... vous avez tué mon père, vous l'avez tué! je sentais ma colère prendre le dessus et je me dirige vers l'infirmer qui reculer de plusieurs pas.

—Non excellence, l'infirmer se mit a reculer au moment ou il voie que je sort mon épée.

—Maintenant c'est vous qui aller mourir!

Au moment ou j'allais lui porter un coup, l'infirmer sort une arme de pointe digitale qui était caché sous sa blouse puis il me tire dessus quelque seconde plus tard je me suis relever. Par chance il avait mis l'arme en mode paralysante, mais il n'était plus là. J'ai appelé les gardes afin qu'ils retrouvent cet infirmer et peux de temps après leur départ ont entend l'alarme retentir a travers toute la ville. Aucun garde n'a pue retrouver sa trace, laissant l'assassin de mon père dans la nature.

La nuit est tombé, le ciel s'était couvert en entendais les orages grondé je me trouvais dans mes appartements privé assis sur ma chaise, j'ai posé mon épée sur la table, puis je suis resté la sans rien dire ayant le regard dans le vide. Quand la porte s'est ouverte, Léna apparait.

—Je...Je..J'aurais due, si seulement j'aurais pu faire quelque chose.

—Léna, nul n'est a blâmé hormis moi; je continuais a regarder dans le vide.

—Tu n'es pas a blâmer, se n'est pas ta faute.

—C'est entierement ma faute. Mon père a passé 30 ans a combattre l'opression. Et pourtant je me suis fait avoir. Je me suis conduit, avec arrogance... et cette arrogance a couté la vie a mon père.

—Tu a fais se que tu pensais être juste, Aevris était un manipulateur, ton père a voulu te protéger en s'interposant entre vous. Quand a cet infirmer, vous ne pouviez connaitre ces intentions réel. L'empereur était mourant, peux être que plus rien ne le raisonné.

—Jamais nous le serons...Ce que je sais en revanche, c'est que nos ennemis a pris mes deux parents. Ils sont l'œuvre du mal, je garderais a jamais cette conviction.

Je regardais Léna d'un air triste et désemparé, elle était dans le même état comme si ont se partagé la douleur. On fini par être interrompue par un garde qui venais me prévenir que mon père est prêt. Je me suis levé et j'ai quitté mes appartements afin de me rendre au Panthéon, pendent le trajet je voyais les citoyens d'Aquilae qui s'étaient rassemblé formant une haie jusqu'au Panthéon afin de m'accompagner. Une foi devant les prêtres m'ouvre les portes, quand je rentre la pièce était vide, il n'y avait rien a part des lustres sur pied ou des bougies y étaient posé afin d'éclairer la pièce. Le linceul de mon père se trouvais au centre. Je me rapproche lentement, en silence, ayant le cœur battant a grande vitesse, puis je me stoppe a quelque mettre du corps de mon père et je le regarde sans faire de bruit. Et e décide de me rapproché de nouveau en me laissant envahir par mes émotions toute la nuit afin de pouvoir faire mes adieux. Quand je ressort le lendemain matin, Zéno était présent, assis contre la colonne regardant en direction du Palais.

—Zéno. En entendant son prénom, il tourne sa tête vers moi. C'est un jour nouveau.

Zéno regard Linos avec une respiration rapide, puis se lève sans rien dire.

—Tu es resté la toute la nuit?

—Je ne voulez pas que vous sentiez, que vous étiez seul, me dit-il.

—Peux importe se que tu a fais, tu es un ami fidèle Zéno; j'avance de quelque pas puis je ferme les porte du Panthéon. Je me tourne vers Zéno et je le regarde. Tu dois avoir faim.

—Oui, je dois avouer que la nuit a était difficile.

—Pas tant que moi. Allez viens, ont va nous faire notre petit déjeuné.

Pendent que Aratus et Zéno prennent le petit déjeuné, tout le mondes se préparé au couronnement, quelques heures plus tard les gardes se sont mis en ligne d'honneur et ont sonné les trompette, levant les étendards de l'empire a travers toute la ville dans les air.

Les porte de la salle du throne se sont ouverte me lessant entrer. Elle était immense, nos étendards y était accroché au dessus de nous, avec des vitre qui donné vue sur toute la ville. Le trône était quand a lui fait de bronze et de fer. J'étais habillé d'une cuirasse avec une cape rouge, ou était gravé dessus les armoiries de ma famille. J'ai avancé doucement jusqu'au pieds des marches me permettant d'accéder au trône. La salle était remplis de personnes haut placé, ainsi que des gardes et des chevaliers. Zéno et Léna était également présent. Un prêtre s'est avancé jusqu'à moi avec la couronne a la main et je me suis agenouillé devant lui.

—Donnez vous en se jour votre parole solennel de gouverner le peuple d'Aquilae selon les lois et les coutumes propre de chacun de nous? me dit-il

—Je donne ma parole solennel.

—Userez vous du pouvoir qui vous es confié, pour faire régné la lois et la justice, en faisant preuve de miséricorde dans chacun de vos jugements?

—Je le jure, lui ai-je dit d'un ton ferme.

—En vertu du pouvoir que me confère les Dieux. Je vous fais Aratus, Empereur d'Aquilae.

Le pretre à posé la couronne sur ma tête et je me suis relevé en me tournant devant ma cours et le chef de la garde impérial c'est mis a crier:

—Longue vie a l'Empereur!

Puis toutes la cours a suivi en disant a l'unisson,

—Longue vie a l'Empereur! Longue vie a l'Empereur!

Nous étions à présent a l'aube d'une nouvelle ère. Après l'assassinat de mon père, je suis devenu un jeune Empereur en accèdent au trône d'Aquilae. De tous côté la Fédération d'Aelor menaçait l'Empire d'Aquilae autrefois paisible. Je m'apprêtais à ce que la guerre reprenne, sachant que d'innombrables vies allaient souffrir. La paix n'était qu'éphémère, je savais qu'il n'y avait qu'une seul solution pour la retrouver. Et pour cela j'avais besoin du soutien des Stellis, comme mon père autrefois.

Fin
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